• Lundi soir était diffusé un magnifique téléfilm évoquant le travail formidable de Françoise Dolto, pedo-psychiatre et psychanalyste, qui a laissé derrière elle, non seulement une oeuvre très riche sur différentes études comportementales des enfants en difficulté, mais également la trace d'une nette évolution des mentalités sur la personne "l'enfant" ... elle fut une des figures marquantes du siècle passé ..

    J'ai trouvé que le téléfilm, malgré quelques petites imperfections et longueurs, était très juste et très sobre s'attachant non seulement sur la personnalité et la vie de Françoise Dolto, qui était pleine d'humour et d'humanité, mais également sur quelques cas d'enfants en graves difficultés ...

    Si vous voulez mieux connaître Françoise Dolto, sa vie et son oeuvre, rendez-vous sur son site <a xhref="http://www.francoise-dolto.com/">http://www.francoise-dolto.com/</a>

    Josiane Balasko très convaincante dans un rôle très lourd ... 

    Petite anecdote personnelle : le mari de Françoise Dolto, le Professeur Boris Dolto, a été professeur de kinésithérapie de ma maman qui en a fait son métier .. ma mère m'a raconté qu'elle avait surpris plusieurs fois leurs enfants, dont le petit Yvan-Chrysostome Dolto plus connu sous le nom de Carlos, courir dans les couloirs de la fac ....

     

     


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  • Seigneur l'émission d'hier soir a atteint les sommets du n'importe quoi ..

    Je survole les prestations (qui ont été éclipsées par les "séquences émotion" !!) des candidats où j'ai bien aimé Mickels (même si un peu en dessous de son niveau habituel), Harold qui s'est déchaîné, Edouard qui m'a agréablement surprise (même si j'ai toujours du mal avec sa coupe de cheveux qui ferait pâlir les pubs pour gel fixation forte !!!), Joanna toujours bien égale à elle-même, Anissa excellente, Solène qui s'est éclatée avec un Julien Doré exaspérant, Alice est nulle mais ravissante, Julia atterrante, sa sortie était inévitable, Maryline inexistante, Yvane ridicule, vocalement et techniquement bien limite quand même, Gauthier ah Gauthier lui alors il commence à me sortir carrément des yeux tant je le trouve hautain, d'une prétention sans commune mesure, sa façon d'interpréter "Quoi ma gueule" n'était pas à la hauteur (je sais mauvais jeu de mots considérant cette espèce de cube qui monte et qui descend à volonté ..), les deux petits se sont d'ailleurs fait tailler un costard en direct par Sieur Johnny himself .. à mourir de rire .. ah tiens j'ai failli oublier Quentin .. c'est dire que sa prestation ne m'a pas marquée outre mesure !!

    Mais alors le consternant du consternant, c'est ce méli-mélo pathético-grandiloquent .. la demande en mariage en direct, les larmes dans les bras de papa-maman, les retrouvailles de copines etc.. mon Dieu !!!!!! on se serait cru dans un mauvais jour de la grande époque des Sacrées soirées de Foucault !!!! et l'autre qui veut embrasser Joanna, Gauthier gauche et maladroit face à une Alice ébahie !!

    Ils ne savent plus comment faire pour attirer l'audience en titillant la sensibilité du téléspectateur lambda ..

    Et puis alors cette notation de plus en plus dure censée pouvoir mieux départager les candidats ben c'est raté complet vu qu'hier soir, il y avait trois premiers ex-aequo !!!!!!!!!!!! du jamais vu .. !!! alors que Mickels aurait mérité une note bien meilleure on accrédite Yvane d'une moyenne au-dessus .. sur la prestation d'hier soir force est de constater qu'objectivement Mickels aurait dû obtenir titiller le peloton de tête .. quoi ?? je ne suis pas objective ??? bon peut-être que non finalement lol .. enfin si .. Yvane est nul ..

    Allez moi j'aime Les trois mousquetaires et j'espère qu'ils continueront encore l'aventure le plus longtemps possible (et les trois mousquetrices lol Joanna, Anissa et Solène !!) ...

     

    Par Kevin Moulback

    Vendredi dernier, grâce à Jenifer et aux Jonas Brothers, la Starac a un peu remonté la pente. Un peu seulement, parce que 5 millions de téléspectateurs, c'est certes 340 000 de plus que la semaine précédente, mais c'est encore 2 millions de moins que NCIS, la série increvable. Et M6 est bien décidée à faire durer son précieux trésor jusqu'à la fin de l'année, en ne diffusant qu'un épisode inédit par semaine.

    Pour tenter de transformer l'essai, Nikos reçoit ce soir une valeur sûre, Johnny Hallyday, le monument du rock à la française, et une valeur montante, Julien Doré, le gagnant de la Nouvelle Star 2007, l'incarnation de la branchitude désinvolte. Avec une combinaison détonnante comme celle-ci, comment peut-on perdre ?

    On peut.

    Le prime s'ouvre sur une interprétation collégiale du sempiternel "Allumez le feu" et dès les premières notes de ce qui sera un concours de beuglements, on sent que la soirée va être longue. Les vociférations des élèves s'attaquent à une nouvelle chanson innocente, "Vivre pour le meilleur", quand Johnny fait son entrée, tel un colosse, à travers un épais rideau de fumée. Les vocalises d'une chorale ajoutent encore à la solennité du moment. La foule est en délire et scande frénétiquement son nom : "Johnny, Johnny...".

    Nikos est ravi d'accueillir Johnny : "Bonsoir Johnny, c'est toujours un plaisir de vous recevoir. Tout le public est vraiment là pour vous ce soir !" Ça fera sûrement plaisir aux autres artistes qui ont fait le déplacement. Johnny a l'air tout aussi ravi d'être là : "Nous aussi, on a beaucoup de chance de pouvoir chanter avec des nouveaux talents parce que ce sont les talents de demain et... et demain ils seront là... et c'est formidable." Comme à chacune de ses récentes visites à la Starac, Johnny semble animé d'une joie incommensurable qui, bizarrement, ne transparaît pas du tout sur son visage. Une joie très intériorisée sans doute.

    Il faut dire qu'on ne facilite pas la tâche au malheureux "tôlier" (l'expression qu'utilise Nikos pour désigner Johnny et qu'il est le seul à employer). Une fois de plus, il doit se coltiner l'inévitable "Gabrielle". L'année dernière, c'était un duo avec Bertrand ; cette année, c'est un trio avec Mickels et Quentin. C'est fou comme cette émission se renouvelle ! Même posture, mêmes intonations, mêmes gestes... Pour échapper à l'ennui qui guette déjà, on observe l'auditoire, où l'on repère la petite Jade, la fille adoptive de Johnny et Laeticia. Laeticia n'est pas là ce soir parce qu'elle est au Sénégal avec l'Unicef. Ça sonne comme un mauvais prétexte : elle doit probablement être chez elle à regarder NCIS.

    Lorsque Johnny quitte la scène pour aller s'affaler sur le banc où il va somnoler l'essentiel de la soirée, Nikos le met en garde : "Attention, il y a un trou, hein. On tombe régulièrement" avant de s'esclaffer. Une subtile référence à l'accident de la chanteuse Yaël Naïm la semaine dernière. Elle doit sûrement bien rire depuis son lit d'hôpital.

    Mais c'est déjà l'heure de la toute première surprise de la soirée. Et quelle surprise ! Pour la récompenser de son travail (elle est deuxième au classement), Céline Dion invite Solène à assister à son concert à Vancouver. Elle est vraiment sympa, cette Céline ! Et tellement désintéressée : j'en ai les larmes aux yeux. Nikos se lance alors soudainement dans un long exposé d'un seul souffle : "Céline, c'est plus de 180 millions d'albums écoulés à travers le monde. C'est un travail énorme. C'est l'artiste féminine ayant vendu le plus de disques de tous les temps. Céline achève actuellement sa tournée mondiale. Elle a fait le tour des cinq continents. Elle s'est arrêtée dans plus de vingt-cinq pays. Et à l'issue de sa tournée mondiale, une compilation de ses plus grands tubes en anglais sera disponible dès le 27 octobre dans un CD simple, My Love Essential, et dans un double CD, My Love Ultimate Essential Collection. Et vous retrouverez notamment les tubes de Céline : 'My Heart Will Go On', 'All By Myself' ou encore 'Tell Him' avec Barbra Streisand, ainsi qu'un titre inédit 'There Comes A Time'. Merci Céline, on vous embrasse fort et on vous attend". Ouf ! Quand la promotion est aussi naturelle et spontanée, c'est vraiment un plaisir. Ça ne se remarque pas du tout !

    Mais voici que Lorie s'empare déjà de la scène pour un duo avec Anissa sur "Je vais vite". Une fois encore, je tombe littéralement à la renverse devant cette étonnante originalité. Lorie chante exactement la même chose que l'année dernière ! Une prestation presque impossible à oublier : ça commençait comme une chanson, ça finissait comme un sketch. Cette année, bien décidée à prendre sa revanche, Lorie arbore une superbe tunique rouge, comme celle des grenadiers qui gardent Buckingham Palace. Il ne lui manque que le bonnet à poil. En fait, il lui manque aussi le bas de l'uniforme parce que je doute que les grenadiers se baladent cuisses nues dans les jardins du palais. Anissa, quant à elle, a revêtu une vareuse marine beaucoup plus sobre et elle porte un pantalon. Lorie essaie d'entraîner les spectateurs. "Vous la connaissez !", dit-elle. Ils ne la connaissent pas, ou bien ils sont de mauvaise humeur. En tout cas, ils ne chantent pas.

    Soudain, les deux chanteuses et les danseuses tecktonisantes qui les accompagnent abandonnent leurs uniformes martiaux pour des tenues beaucoup plus sexy. C'est pour un deuxième titre de Lorie, "Garçon". Dans la chanson, Lorie s'aperçoit que son fiancé aime un garçon et elle en est fort dépitée : "Comment choisir lui ou moi, lui ou moi, lui ou moi / Sans nous détruire tous les trois, tous les trois, tous les trois". Comme vous pouvez le constater, les textes sont très recherchés. À l'issue de la chanson, Lorie a une surprise pour Anissa : elle l'invite à son concert. Comme c'est original ! Nikos précise immédiatement, de façon assez contradictoire : "C'est complet ! Il reste encore quelques places !". Kamel Ouali, le plus grand chorégraphe de France, pense qu'il faut qu'Anissa y aille. Moi, je pense qu'elle peut même y aller avec toute sa famille parce qu'il a l'air d'y avoir de la place.

    Dans la série "Je suis là pour faire ma promo", on passe maintenant à Cléopâtre, la nouvelle comédie musicale de l'illustre Kamel. Sofia Essaïdi incarne la dernière reine d'Égypte, ce qui est ironique puisqu'à l'époque de la Starac 3, dont elle fut demi-finaliste, elle était surnommée la pharaonne. La belle Sofia chante "Femme d'aujourd'hui" avec Joanna tandis que des danseurs kaméliens s'agitent en tout sens autour d'elles. Au vu de la prestance de l'une et de l'autre, Sofia est clairement la reine des reines et Joanna sa fidèle servante (probablement celle qui se suicide à la fin du fameux film de Joseph Mankiewicz avec Elizabeth Taylor). Malheureusement, elle ne se suicide pas avant le deuxième titre, interprété avec Christopher Stills (dans le rôle de César) et avec Harold (dans celui de... d'un gros centurion, j'imagine). Ils chantent tous ensemble "L'accord" : "Une main sur l'Occident et le cœur en Orient / Par l'accord qui nous tient, les deux mondes n'en feront qu'un". Superbe, non ? Kamel, qui chante aussi depuis son banc, a l'air très content d'eux, c'est-à-dire de lui.

    Après ce plaisant ballet égyptien, on revient aux choses sérieuses. Nikos rappelle les enjeux aux élèves : "Parmi vous, chers académiciens, il y a peut-être le ou la gagnante de cette saison." Peut-être en effet... du moins on l'espère parce que si le gagnant n'est pas parmi eux, on se demande un peu où il est. Édouard et Gautier ne se posent pas ce genre de questions oiseuses : ils se jettent résolument dans la compétition à l'occasion d'un duo des plus virils. Afin de bien mesurer toute la portée de ce duo, ou plutôt de ce duel - "un duel de mecs sur une chanson de mecs" -, on a droit au pénible rappel de leur altercation à l'issue du dernier prime. Une histoire terrible : Édouard a marché sur le pied de Gautier pour que ce dernier vote pour Harold et... yada yada yada... ils en sont presque venus aux mains. Je vous la fais courte mais cet incident sans aucun intérêt était sans conteste le point culminant de cette semaine à la Starac (à moins que ce ne soit le moment poignant où Quentin pleure à cause de l'huile dans les pâtes).

    Johnny, qui s'était paisiblement assoupi sur son banc, se réveille soudain pour écouter les deux jouvenceaux chanter un de ses titres-phares : "Ma gueule". Il aurait mieux fait de rester couché... Édouard et Gautier - qu'on a juchés sur des plate-formes pour qu'ils soient... euh, plus haut - s'engagent dans un concours de regards noirs, de sourcils froncés et de postures mâles. Pour ajouter au ridicule de l'ensemble, ils sont tous deux affligés d'étonnantes coiffures. Édouard a habituellement une coupe ébouriffée, voire franchement verticale, façon Sangoku dans Dragon Ball si vous voyez ce que je veux dire. En revanche, Gautier a, d'habitude, plutôt les cheveux dans les yeux. Mais pas aujourd'hui, où son crâne est orné d'un brushing improbable, façon Bobby Ewing dans Dallas. Bizarrement, la confrontation des deux styles capillaires nuit beaucoup à la crédibilité de l'interprétation. Les duettistes/duelistes achèvent finalement la chanson à quelques centimètres l'un de l'autre. On s'attend presque à un baiser fougueux... mais non, on a droit à la place à un double hurlement à vous vriller le tympan.

    Témoin de l'odieux fiasco, Nikos s'approche de Johnny, des excuses à la bouche : "Johnny, ils sont jeunes, ils n'ont pas encore le vécu rock'n'roll mais ils y vont, ils sont émus". Johnny, toujours aussi ravi d'être là, a quelques mots gentils : "Euh oui, c'est intéressant... Euh, qu'est-ce que je peux dire ?". Heureusement, Nikos est là pour l'aider un peu : "C'est une chanson difficile...". "C'est une chanson très difficile", renchérit Johnny, miséricordieux.

    Rafaël Amargo, l'exubérant professeur d'expression corporelle d'origine espagnole, donne aussi son avis. Un interprète assure désormais la traduction simultanée. Cela a des avantages et des inconvénients. L'avantage, bien sûr, c'est que, maintenant, on comprend ce qu'il dit. L'inconvénient, c'est aussi qu'on comprend ce qu'il dit. En effet, une fois traduits en bon français, ses propos sont beaucoup moins intéressants. Tout était dans l'accent.

    Écœuré par le massacre de sa chanson, Johnny va se réfugier dans sa loge. Il n'en sortira que pour un duo avec Joanna sur "Unchained Melody" ("Unchained Love" en langue nikosienne), immortalisée notamment par les Righteous Brothers et Elvis Presley. Le titre a été enregistré jeudi, ce qui n'empêche pas Joanna d'être notée, fort généreusement (15,2), et Johnny, Nikos et les professeurs de jouer une comédie ridicule à la reprise du direct, comme si la prestation venait tout juste d'être réalisée. Mais il est déjà 22 heures passées et Johnny est fatigué (pas d'avoir chanté évidemment...) ; il s'en va. Il a bien raison : le reste de l'émission va sombrer dans la grotesquerie, enchaînant les "surprises" sentimentalo-poussives.

    Maryline, nominée aujourd'hui, voit débarquer son fiancé Bruno, une bague à la main. Il vient la demander en mariage sous une pluie de confettis. Comme c'est original ! Le coup de la bague, on nous l'a déjà fait en 2002 avec Emma et son fiancé Ulrich. Le coup de la demande en mariage, on nous l'a déjà fait en 2006 avec Ely et son fiancé Keven. Les caméras braquées sur elle, Maryline accepte la bague. "Si vous voulez vous marier, c'est ici que ça se passe, ce soir à la Star Academy," hurle Nikos, au comble de la joie. On se croirait à Tournez Manège, la défunte émission matrimoniale d'Évelyne Leclercq et Fabienne Égal.

    Pour Alice, elle aussi nominée, c'est pire. Après sa prestation, c'est Gautier le chevelu qui vient lui déclarer sa flamme en déclamant sa mirobolante composition, "Alice", tandis que son comparse Quentin l'accompagne à la guitare avec les trois accords qu'il connaît. La malheureuse jette des coups d'œil effrayés à droite et à gauche, peut-être à la recherche d'une issue pour s'échapper, mais doit se résigner à écouter la pénible aubade jusqu'au bout. Les spectateurs ne sont pas satisfaits pour autant : "un bisou, un bisou...". Nikos est sans pitié : "Le public demande un bisou. Je suis désolé : le public demande un bisou. C'est le public, respectez toujours le choix du public !". Heureusement pour Alice que le public s'est contenté d'un bisou.

    Anissa n'est pas nominée mais elle a quand même droit à sa surprise aussi. C'est sa famille au grand complet qui arrive sur le plateau. Il ne manque plus que le chien. Elle, au moins, a l'air contente de les voir, contrairement à Maryline et Alice qui semblaient beaucoup moins ravies de leur "surprise".

    Julia, la dernière nominée, paraît aussi très heureuse de voir ses amis déferler sur le plateau tandis que le générique de la série Friends retentit. Il y a toutes ses copines de Lyon et son petit ami, François. Bien sûr, c'est lui que Nikos choisit d'interpeller : "Salut, ma belle".

    Après toutes ces "surprises" épuisantes, il y a quand même une vraie bonne surprise. Et comme toutes les vraies surprises, elle vient d'où on ne l'attend pas. Et non, ce n'est pas Julien Doré. Celui-ci fait certes fort bien son numéro habituel de charmeur/provocateur au sourire en coin, jouant avec brio sur tous les tableaux à la fois. Ou comment faire sa promo sur le plateau de la Starac sans être contaminé par la peste staraquienne vulgoïde. Mais son habileté manœuvrière est peut-être un peu plus voyante qu'avant.

    La bonne surprise, c'est le duo plein d'énergie de Chris Brown avec Harold. Pourtant, on aurait pu s'attendre au pire au vu du reportage introductif sur Chris : "Il est connu dans le monde entier, il vend des millions de disques, il a une fortune colossale". Ce qui en langue de la Starac signifie : "Vous n'en avez jamais entendu parler mais c'est énorme alors ne zappez pas". On aurait aussi pu s'attendre au pire parce que le titre retenu, "Kiss, Kiss", est résolument hip hop et donc un contre-emploi complet pour Harold, qui nous serinait la "Lettre à France" de Michel Polnareff la semaine dernière. Malgré tout, il n'est pas ridicule du tout, même si, au début, il est confiné sur le côté avec le DJ tandis que Chris sautille sur le plateau central avec ses danseurs. L'énergie est communicative et emporte le public, y compris quelques impertinents qui parviennent à s'infiltrer sur la scène avant d'en être expulsés manu militari. Ce n'est clairement pas de la grande musique mais ça change un peu de la léthargie qui prévalait jusqu'alors.

    Bien sûr, Nikos ne peut pas résister à la tentation et pose à Chris Brown, qui porte un petit sac sur son dos, la question qui tue : "Qu'est-ce que vous avez dans votre sac à dos ?" Apparemment, ce n'est qu'un accessoire : il est vide. Je vous laisse néanmoins envisager toutes les possibilités : une petite collation d'après-prime, un pain d'héroïne, un crâne de cristal...

    Mais voici que le prime touche à sa fin. C'est le moment où la ménagère dit à son mari : "Je savais bien qu'on aurait dû regarder NCIS". Et où son mari lui répond : "Mais il y avait Johnny !" Et où elle dit : "Tu parles ! Johnny, il avait l'air de s'emmerder autant que nous !" Et c'est là que Chris Brown arrive sur scène pour une ultime chanson avec Joanna. Et là, la ménagère et son mari s'écrient d'une même voix : "Ah non, pas encore une !".

    Néanmoins, les pires choses ayant aussi une fin, on arrive quand même au moment fatidique du résultat final. Alice est plébiscitée par le public avec 60 % des suffrages contre seulement 24 % pour Maryline et 16 % pour Julia. Maryline est sauvée par ses camarades à une large majorité et Julia retourne à Lyon avec tous ses petits amis. Elle en a de la chance : Maryline, elle, se retrouve avec un mari sur les bras.

    C'est fini pour aujourd'hui. À la semaine prochaine.

     

     

     


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  • Ce soir ce sont alternés le bon, le moins bon, le carrément mauvais et le presque excellent ...

    Face à des Alice, Maryline, Julia ou Ana éteintes et inexistantes (il faut avouer aussi que face à une Jenifer rayonnante la partie était ardue !!), ont flamboyé Solène, Joanna, Anissa, Harold qui nous offre une prestation des plus convaincantes qui le place à la première place ce soir avec une moyenne de 16,7, même si j'ai aimé moyen moyen les bisous en direct avec sa femme, charmante au demeurant, mais ils auraient pu éviter les frotis frotas sur le plateau !!! (je ne suis vraiment pas fan des séquences émotion !!!) ... les autres : Gautier en tête qui m'énerve mais d'une force !!! .. prétentieux et arrogant, tant dans ses attitudes que dans son chant .. Edouard qu'on a envie de scalper .. correct mais sans plus, il ne se démarque pas .. Yvane qui tente un radoucissement mais qui vocalement reste très faible avec des problèmes de justesse et de positionnement (j'ai souvent l'impression qu'il n'est pas à sa place !!) .. et Quentin qu'on a envie de renvoyer dans sa cour de récréation qui manque singulièrement de maturité .. (je juge sur les primes, je ne regarde pas les quotidiennes donc je ne juge pas sur leurs façons d'être dans la vie au sein du château .. euh de l'hôtel !!)

    Pour terminer sur le donc presque excellent d'un Mickels qui m'a beaucoup touchée (sa moyenne de 15,2 ne reflète pas loin de là ce qu'on était en droit d'en attendre, je le plaçais largement au même niveau voire même mieux qu'Harold), très complice avec Garou (même si lui j'aime pas sa voix, l'homme m'est foncièrement sympathique ..) ... Mickels a un grain de voix digne des Damien Rice ou Tom Mc Rae, je le vois bien dans ce style là .. je l'attends au tournant ce petit .. je crois pouvoir dire que c'est mon "chouchou" de cette année, relativement discret et réservé .. il ne me fait pas vibrer non loin de là, mais je l'aime beaucoup avec sa tronche d'ange et son regard pétillant ...

    Le coeur à mille à l'heure au moment du verdict final .. Yvane est sauvé par le public (c'était prévisible ..) mais d'une très courte tête devant Harold (respectivement 37 % et 36 %) ..

    Le suspense et l'horreur sont à leur comble : après le vote des élèves Ana et Harold sont ex aequo et franchement ils sont pourtant aux antipodes au niveau talent ..

    C'est finalement Yvane (que je n'apprécie pas plus que ça mais qui se révèle toutefois assez attachant) qui va sauver Harold .. un OUFFFFFFFFFFF de soulagement a envahi ma poitrine (j'étais là à me mordre les doigts et à murmurer Sauvez Harold Sauvez Harold (heureusement qu'il ne s'appelle pas Willy !!!!!) )... je n'aurais certes pas compris qu'une Ana franchement au ras des pâquerettes soit sauvée devant un Harold plutôt impeccable sur son Lettre à France réussi ..

    Rendez-vous la semaine prochaine pour une nouvelle âpre bataille .. !!!

    Le debriefing de Kevin Moulback toujours aussi mordant :

    Quatrième prime : élimination d'Ana
    Par Kevin Moulback

    Le dernier prime de la Starac a réuni 4,7 millions de téléspectateurs. C'est certes 340 000 de plus que la semaine précédente mais la part de marché continue néanmoins à rétrécir - 22,2 % contre 22,4 % vendredi dernier - parce que, de son côté, NCIS, la série navalo-criminelle de M6, dépasse maintenant largement les 7 millions de fidèles en début de soirée. TF1 n'a pu sauver l'honneur que grâce au soutien inespéré de Christophe Hondelatte, dont le nouveau magazine culturel Tandem, sur France 2, a sombré corps et biens avec moins de 2 millions de téléspectateurs.

    La débâcle de la huitième saison semble donc se poursuivre inexorablement. Et pourtant, ce soir, il se passe quelque chose d'inattendu sur le plateau 217 de la Plaine-Saint-Denis, quelque chose d'extraordinaire, d'exceptionnel, comme dirait Nikos. Ce soir, c'est vraiment bien.

    De prime abord, on pouvait s'attendre au pire. L'invitée d'honneur n'est autre que la sempiternelle Jenifer, habituée des primes s'il en est. Elle est à la fois la première gagnante de la Starac, sa plus belle réussite commerciale, mais aussi le douloureux rappel d'une époque où l'émission faisait beaucoup plus d'audience et vendait beaucoup plus de disques. Six chansons de Jenifer figurent au programme : on n'est donc pas loin du pénible record encore détenu par Florent Pagny, avec sept titres durant une même soirée.

    Le prime s'ouvre sur une interprétation de groupe d'un medley des plus grands succès de Jenifer. Et là - divine surprise - ce n'est pas la cacophonie et le désordre qui caractérisent habituellement les prestations collégiales. Pour une fois, c'est plutôt harmonieux - les élèves chantent sagement les uns après les autres - et, surtout, ça ne dure pas trop longtemps. C'est donc un excellent début.

    Et voici qu'apparaît Nikos, le maître de cérémonie. Il ne porte pas de cravate ! On se dit alors que quelque chose est vraiment différent ce soir. Et voilà qu'apparaît Armande Altaï, la directrice baroque. Elle porte d'étranges lunettes noires, qui semblent inspirées à la fois par le carnaval de Venise et le costume de Batman. Là, pour être franc, on se dit qu'elle a peut-être perdu la boule pour de bon mais le spectacle se poursuit sans attendre.

    Quentin commence les choses sérieuses en interprétant "La dame de Haute-Savoie" de Francis Cabrel aux côtés de Roch Voisine et de Garou. Même si la façon dont les trois compères font semblant de jouer de la guitare électrique et rivalisent dans les accents rocailleux est vaguement ridicule, il y a quand même une belle énergie et le trio est sympathique. La performance est agrémentée d'un charmant tableau, probablement concocté par Kamel Ouali, le plus grand chorégraphe de France. Des danseurs descendent un plan incliné noir couvert de silhouettes blanches avant d'entamer un twist endiablé. Je suppose que le plan incliné évoque les pentes neigeuses de la Haute-Savoie. Les silhouettes blanches sont peut-être un hommage discret aux Experts, la série vedette de TF1. Quant au fait que danseurs et danseuses portent des tchadors, il s'agit probablement d'une invitation très subtile à la réflexion sur le thème de l'égalité des sexes au Moyen-Orient. Évidemment, cela pourrait aussi être complètement autre chose, voire tout à fait n'importe quoi.

    Le spectacle continue dans la bonne humeur. Jenifer, qui chante un de ses derniers titres avec Anissa, a voulu nous faire rire en arborant une superbe robe rouge à peu après aussi ample qu'une toile de cirque. À moins qu'ille n'abrite dessous une famille de réfugiés afghans, l'intention comique est évidente. Quelle blagueuse, cette Jenifer ! Kamel n'est pas en reste, qui lui demande après la chanson : "Jenifer, comment tu fais pour ne pas vieillir ? Tu es toujours aussi belle, aussi fraîche." C'est facile : elle a 25 ans !

    On persiste dans le registre humoristique avec Quentin et Gautier, qui jouent les séducteurs sur "Oh les filles" du groupe Au bonheur des dames. La chanson est entrecoupée d'adresses au public féminin. À en juger d'après les cris stridents, Gautier semble avoir un certain succès. En revanche, l'appel de Quentin aux demoiselles - "Vous battez pas !" - est accueilli par un silence de mort. À l'issue de la chanson, Gautier fait un peu de provocation en traitant Nikos de "vieux". Celui-ci lui montre immédiatement "qui est le patron" en entamant avec Garou "Hoochie Coochie Man", un vieux blues emprunté à Muddy Waters. Une petite mise en scène pas vraiment spontanée mais amusante.

    On rit moins quand Joanna, la bonne élève de la promotion, chante "Bleeding Love" avec Leona Lewis, gagnante de X-Factor, une sorte de Nouvelle Star à l'anglaise, qui a vendu près de cinq millions d'albums depuis sa victoire. Du fait du découpage, la pauvre Joanna est confinée dans un rôle de choriste face à une Leona plutôt distante. La chanson, qui a pourtant été numéro 1 des charts un peu partout en Europe, fait partie de ces mélodies R&B sans saveur qu'on oublie presque instantanément. Après la démonstration vocale, Nikos arrive évidemment avec la question qui tue : "Leona, est-ce que vous pensez que Joanna a les atouts pour faire une carrière comme la vôtre ?" Que peut-on répondre à ça : "Non, non, elle ferait mieux de reprendre ses études de comptabilité" ? Leona choisit la diplomatie bien sûr : "Oh, elle est incroyable, elle est très professionnelle, elle a beaucoup de talent. C'est une fille formidable et j'ai été très contente de la rencontrer."

    On passe vite sur le duo de Maryline avec Louisy Joseph, une autre lauréate de télé-téléréalité puisqu'elle appartenait au groupe L5, formé après la première saison de Popstars. Elles interprètent ensemble "Assis par terre", un titre qui, pour des raisons obscures, donne à Kamel l'envie irrésistible de se lever pour danser. On retiendra surtout l'appréciation de Rafaël Amargo, le professeur d'expression corporelle hispanophone, à propos de Maryline : "Elle est très percussionniste". D'autres que Nikos seraient restés perplexes mais l'animateur effectue la traduction simultanée avec son brio habituel : "Elle est perfectionniste". Bravo Nikos !

    Le véritable morceau de bravoure est ce soir pour Solène, qui chante "I'm So Excited" des Pointer Sisters tandis que des danseurs en vestes de treillis à manches bouffantes virevoltent autour d'elle. Elle paraît un peu perdue dans le ballet frénétique qui l'entoure et essaie de suivre les mouvements de son mieux tout en conservant un peu de souffle pour sa chanson. Malgré les imperfections - notamment le porté final en équilibre instable, qui tient plus du transport de pommes de terre -, la prestation est dynamique et sympathique. Comme à son habitude, Kamel couvre son élève de louanges sur le mode "C'est moi que j'aime à travers vous". Ainsi, quand il dit "Solène, tu es géniale, tu recrées l'esthétique", il veut dire "Je suis génial ; je récrée l'esthétique" (je ne sais pas trop ce que ça veut dire mais ça a l'air d'un super-compliment que Kamel se fait à lui-même).

    Jusqu'ici tout va bien. D'ailleurs, Jennifer est super contente. Elle le dit elle-même : "Moi, je vais super bien. Il y a une super ambiance. C'est juste mortel, je suis super contente." Il faut dire que Nikos la couvre littéralement de louanges : "Jenifer, plus belle que jamais. Jenifer, tout le monde dit en régie, tout le monde dit en coulisses et dans le public : mais qu'est-ce qu'elle est belle, qu'est-ce qu'elle est belle !" Difficile d'en faire plus que ça.

    Le meilleur est encore à venir. Le meilleur, c'est, bien sûr, les sémillants Jonas Brothers. Kevin, 20 ans, Joe, 19 ans, et Nick, 16 ans. Ce sont eux que toutes ces adolescentes attendent en poussant des cries d'orfraies et en agitant des panneaux "I love J.B.". Elles aiment les Jonas Brothers et qui pourrait le leur reprocher ? Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils chantent de jolies chansons. Ils ne boivent pas, ils ne fument pas, ils ne jurent pas. Ils donnent 10 % de leurs revenus à des œuvres de charité. Les trois frères ont même choisi de rester vierges jusqu'au mariage. À cette fin, ils portent à la main gauche un anneau de pureté afin, je suppose, d'écarter de leur chemin les femmes de mauvaise vie.

    Certes, les cyniques parmi vous - il y en a, je le sais - rappelleront qu'à l'époque de son premier tube, "Baby One More Time", Britney Spears aussi portait l'une de ces bagues et formait avec Justin Timberlake le plus charmant et le plus asexué des couples. On apprit plus tard avec effarement, de la bouche même de la mère de Britney, que celle-ci avait perdu sa virginité quatre ans auparavant, à l'âge de 14 ans, et même pas avec Justin. Par chance, le cynisme est une disposition d'esprit qui m'est complètement étrangère et je ne doute pas un instant de la sincérité du vœu de chasteté des frères Jonas. Cela dit, vu leur réaction quand Ariane Massenet les a interrogés à ce sujet durant le Grand journal de Canal +, j'ai l'impression que ça doit commencer à leur peser sérieusement.

    Tout ça pour dire que les Jonas Brothers sont "wholesome" comme on dit en anglais, c'est-à-dire que ce n'est pas à un de leurs concerts qu'on risque de se prendre une bouteille de whisky dans la figure ou une fourchette dans l'œil. Et pourtant, les filles les adorent. Dès qu'ils apparaissent sur le plateau, c'est l'hystérie. Et quand ils commencent à chanter leur tube SOS, elles reprennent spontanément les paroles à l'unisson. Comme vous voyez, ça n'a rien à voir avec ces moments si pénibles, et si fréquents à la Starac, où un artiste essaie d'entraîner la foule - "Avec moi !" - et où il ne se passe strictement rien. Les Jonas Brothers, ils n'ont même pas besoin de demander. Ils sont vraiment très forts.

    Quant au malheureux Gautier qui les accompagne, lui dont les adolescentes scandaient le nom à peine quelques minutes auparavant, il a maintenant l'air du vilain petit canard perdu parmi les cygnes. À la fin de la chanson, Nikos vient naturellement poser aux frères Jonas une nouvelle question qui tue : "Comment est-ce que vous vous sentez à Paris avec autant de plaisir ?" Mainteant, il fait les questions et les réponses, ça va beaucoup plus vite. De même, quand les trois frères s'attardent sur scène et que l'attention du public reste focalisée sur eux, Nikos leur adresse un "Hi, guys !", qui sonne étrangement comme "Cassez-vous de mon plateau !".

    Après un tel déferlement d'énergie juvénile, difficile de faire mieux. On passera donc rapidement sur la fin du prime. On retiendra quand même la mésaventure de Yaël Naïm, venue chanter son tube interplanétaire "New Soul" avec Julia. À l'issue de la prestation (pas terrible), la malheureuse Yaël tombe lourdement en quittant la scène. Confus, Nikos lui offre cette curieuse excuse : "Excusez-nous : il y a un trou dans le studio". La chute n'a l'air de rien à première vue, d'autant plus que Yaël, stoïque, affiche un grand sourire. Mais, en soulevant sa robe, Nikos révèle une méchante balafre sur sa jambe. Elle est évacuée avec l'aide de Gautier et Édouard. Pour la consoler de ses blessures, Nikos lui souhaite néanmoins "Shana tova", c'est-à-dire "Bonne année" en hébreu. Comprenne qui pourra.

    Sans être flamboyantes, les dernières prestations sont plutôt agréables, en particulier celles d'Édouard et de Mickels. Le prime s'achève avec "Chante", l'hymne de la Starac 8. Je vous ai déjà dit il y a deux semaines tout le mal que j'en pensais, donc pas besoin d'insister. Et vu l'enthousiasme avec lequel les élèves quittent leur banc pour aller l'interpréter, ils semblent du même avis que moi.

    Impossible de conclure sans mentionner les nominés : Ana, Harold et Yvane. Les interventions familiales qui ont agrémenté leur prestations étaient particulièrement gonflantes (le papa d'Ana, la femme d'Harold, la nièce d'Yvane). Yvane est sauvé par le public avec 37 % des suffrages contre 36 % à Harold et 27 % à Ana. Le vote des élèves est partagé et c'est finalement Yvane, le rebelle de la semaine dernière, qui tranche et renvoie la douce Ana en Belgique (ça tombe bien : son papa la raccompagnera).

    C'est déjà fini ! À la semaine prochaine.



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  • Synopsis : Deux flics. L'un, Boris Constantine chargé de la brigade criminelle et l'autre, Yach, à la tête de la brigade de répression du banditisme, amis hier, ennemis aujourd'hui, obligés de travailler ensemble après le meurtre d'un policier ; deux hommes aux fêlures apparentes dont les méthodes frisent souvent l'illégalité. Une femme qui les dirige, Léa Legrand, blessée dans une fusillade qui a mal tourné et qui ne se déplace plus qu'avec une canne.

    Enfin une série (de quatre épisodes) qui détonne un peu des autres .. de par déjà sa signature, créée par Olivier Marchal qui passe avec une aisance déconcertante du grand au petit écran avec le même talent et la même patte, ayant eu l'idée dans la foulée de "36, quai des Orfèvres" ..

    Grâce à la mise en scène minutieuse, réfléchie et précise de Nicolas Cuche, qui frise avec la lumière, qui joue avec les focales, on est plongés directement au coeur de l'univers policier qu'Olivier Marchal est le seul à savoir décrire avec autant de réalisme, de dureté voire d'ambiguïté ..

    Il s'attache à approfondir davantage les personnages, à s'intéresser à leur psychologie, que l'intrigue laquelle, pourtant très intense, passerait presque en second plan ..

    Les deux héros ont chacun des failles, des forces et des faiblesses qui fascinent ...

    Frédéric Diefenthal trouve un rôle à sa mesure s'inscrivant à mon sens dans la lignée des Depardieu ou Auteuil .. il est méconnaissable, magistral de sobriété, efficace sans trop en faire .. excellent .. Son "pendant" interprété par Yann Sunndberg, tiré à quatre épingles, est tout aussi parfait .. le complément pour former le trio est interprété par une Catherine Marchal droite et glaciale mais terriblement humaine .. tous les seconds rôles sont travaillés et admirablement joués par une bande de jeunes acteurs sacrément doués ..

    Voici enfin une série novatrice, sombre et dure peut-être, mais qui alterne avec magnificence les scènes d'action pénibles et celles plus émotionnelles, se clôturant ce soir sur un meurtre qui laisse une boule amère dans la gorge ..

    On dirait presque un film césarisé ... c'est quelque part rassurant de voir enfin sur TF1 une série française qui est capable de captiver autant que les séries américaines à succès ...

    La suite est à voir absolument ..

    Une réussite indéniablement ..


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  • Synopsis : Jeune avocate parisienne, Violette Castillon se rend précipitemment sur l'île de Ré. Là, un criminel nommé Stany la réclame pour assurer sa défense. Violette a immédiatement accepté car, en échange, l'homme lui en dira plus sur son père, le braqueur José Rocca, mort il y a plusieurs années. Mais le lendemain de l'arrivée de Violette sur l'île, Stany est agressé par son co-détenu et sombre dans le coma. Dès le lendemain, Yves Bama, un notable de la région est retrouvé pendu. Le capitaine Clément Borghese est chargé de l'enquête. Intensifiant ses recherches, Violette découvre que Bama avait témoigné contre José Rocca lors de son procès. Elle suspecte alors un complot que d'aucuns veulent à tout prix effacer...

    Ce téléfilm découpé en deux parties de 50 minutes était diffusé hier soir sur TF1 ..

    Un bon téléfilm réunissant tous les ingrédients indispensables : amour, suspense, des méchants qu'on croyait gentils et des gentils qu'on croyait méchants, une bonne intrigue saupoudrée de mystères, de secrets de famille, et des héros flamboyants aux yeux bleus transcendants (pourquoi les héros ont-ils toujours les yeux bleus ???? lol !!!) ...

    Réalisé par Philippe Setbon de façon très proprette et honnête, il met en scène Jean-Michel Tinivelli toujours aussi charmant, au charisme et à la voix renversants, Lea Bosco ravissante, Joséphine Serre méconnaissable, et Brigitte Fossey qui, malgré son éternel talent, a malheureusement pris un sacré "coup de vieux" ...

    Cependant, c'est bien écrit, bien enlevé et bien joué .. tout ce qui faut pour passer un bon moment d'autant qu'on ne s'attend guère aux révélations finales ..


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  • Je vous poste un debriefing assez caustique ...

    Troisième prime :
    élimination de Gaëtan

    ven oct 03 23:30 Par Kevin Moulback

    Si le premier prime n'a pas fait recette, le deuxième a carrément fait naufrage. Il a été suivi par seulement 4,4 millions de téléspectateurs, soit 22,4 % de part de marché, la plus faible audience enregistrée par la Star Academy depuis sa création. Le même soir, le premier épisode de NCIS, la série militaro-policière de M6, caracolait loin devant avec presque 7 millions de téléspectateurs.

    On s'interrogeait vendredi dernier sur les causes de cette soudaine désaffection du public. L'explication semble maintenant de plus en plus évidente : TF1 a le mauvais œil. Et il est facile de discerner derrière le sort qui s'acharne contre la chaîne la main d'un homme : Patrick Poivre d'Arvor. Ces vieux sages bretons ont de grands pouvoirs. Cela remonte à l'époque où ils cueillaient encore le gui sur les chênes avec une serpe d'or. Songez que PPDA est parvenu à faire repousser ses cheveux par la seule force de la pensée. Cet homme est capable de tout et TF1 était bien téméraire d'encourir son terrible courroux.

    Maintenant, il est trop tard pour laver l'affront fait au mage celte. Il ne reste qu'à colmater au mieux les brèches béantes dans la coque du navire Star Academy qui fait eau de toute part. À cette fin, la production de l'émission a donc rameuté une foule d'artistes - huit au total -, histoire d'être parée au cas complètement hypothétique où l'un d'entre eux décidait subitement de rester dans sa chambre d'hôtel plutôt que de venir. Mais non, pas de défection ce soir et il faut donc que tout ce petit monde chante. Résultat : les titres s'enchaînent à un train d'enfer. Pour les artistes de moindre envergure, on est donc un peu dans le registre "chante et casse-toi". Pas de temps à perdre en palabres inutiles.

    L'invité d'honneur n'est autre que Florent Pagny. Quelle joie de le revoir ! J'avais presque oublié son visage. Après tout, il n'est passé que trois fois à la Starac l'année dernière... Nikos nous informe que Florent a interrompu l'enregistrement de son album à Miami pour venir "partager son savoir-faire avec les élèves" ; il repart demain matin. C'est bizarre : à le voir ce soir, vêtu et botté de cuir noir, avec son crâne rasé et son bouc, on a plutôt l'impression qu'il est venu participer à une soirée SM au Glove, un établissement de haute tenue qui se trouve justement - le monde est petit - rue Charlot, à quelques mètres de l'hôtel de Brossier où réside la Starac.

    La sensibilité SM de Florent se confirme d'ailleurs quelques minutes plus tard quand il commence à nous torturer méchamment en interprétant "Amsterdam", la fameuse chanson de Jacques Brel sur les marins qui boivent et qui pissent, avec Quentin (tout de cuir vêtu lui aussi, y compris la cravate). L'arrangement retenu, à base d'accordéon plaintif et de piano poussif, est le plus vieillot qu'on puisse imaginer. On se croirait sur le plateau de la Chance aux chansons. Devant ce spectacle d'un autre âge, des millions de téléspectateurs ont probablement pensé la même chose au même moment : "Tiens, je me demande ce qui se passe dans NCIS".

    Si l'objectif est de retenir le chaland, il est donc assez contradictoire de commencer avec ça. J'aurais plutôt choisi les Pussycat Dolls, qui ont clairement des attraits que Florent Pagny n'a pas. Seulement voilà, ce soir, les poupées félines passaient aussi au Grand journal de Canal + et, quand le prime a commencé, elles devaient être en train de faire la bise à Michel Denisot avant de partir pour les studios de La Plaine-Saint-Denis. Il a donc fallu se rabattre sur Florent Pagny pour faire du remplissage en attendant leur arrivée explosive.

    À ceux qui ont le courage de rester sur TF1 malgré ce pénible démarrage (ou bien qui ne retrouvent plus leur télécommande), Florent explique que "c'est facile de bien chanter pour nous quand on a des bonnes chansons comme ça et qu'on a de bons musiciens comme ça qui jouent en vrai". Nikos approuve et rend "un coup de chapeau aux musiciens quoi qu'il advienne", une de ces phrases au sens incertain dont il a le secret. Parmi les bons musiciens en question se trouve Yvan Cassar, de sinistre mémoire puisqu'il appartenait au jury de la Starac 7. Celui que, parait-il, on surnomme Mozart dans le métier, est sans doute responsable de l'odieux arrangement mentionné précédemment et, du coup, la raison pour laquelle on le surnomme Mozart devient vraiment très mystérieuse.

    Après ce démarrage laborieux, c'est au tour de Joanna de nous surprendre en chantant "I Will Always Love You". Comme c'est original ! Voilà une chanson qu'on n'a jamais entendue auparavant à la Starac et surtout pas chantée par Jenifer en 2001, Nolwenn en 2002 ou Cynthia en 2006. Ce titre n'a qu'un objectif, permettre à son interprète "d'envoyer", c'est-à-dire de faire la démonstration emphatique de sa puissance vocale. Un peu crispée et chevrotante au début, Joanna se débrouille quand même bien sur la fin, quand il faut "envoyer" à donf. On l'a cependant un peu aidée en abrégeant la chanson pour ménager son souffle. Les professeurs applaudissent debout (pour que le public sache bien que c'était beau, presque aussi beau que Céline Dion) et, avec une moyenne de 17,5 - la note la plus haute de la soirée - Joanna s'impose plus que jamais comme la favorite de cette huitième saison. Si la tradition staraquienne est respectée, elle devrait donc se faire éjecter en demi-finale. Le public a horreur des premiers de la classe.

    À noter que Kamel Ouali, le plus grand chorégraphique de France, jamais à court d'idées, a fait de son mieux pour rendre Joanna ridicule. C'est donc engoncée dans une sorte de robe de mariée et juchée sur un cygne géant et duveteux qu'elle a dû délivrer sa chanson tandis que des danseurs costumés de blanc virevoltaient frénétiquement autour d'elle en tentant d'éviter d'autres cygnes géants et poilus, ce qui n'est pas une mince affaire, la scène étant petite cette année.

    Après cette démonstration vocale mirobolante, c'est Solène qui s'empare de la scène pour un pénible concours de bêlements avec Sheryfa Luna sur "Il avait les mots". En écoutant, on pourrait croire à une intention comique mais en voyant les grimaces de douleur sur le visage de Solène tout au long de la chanson, on se dit que cette dernière recèle peut-être une intensité dramatique insoupçonnée... Dans tous les cas, ça fait du bien quand ça s'arrête, d'autant plus que le morceau de résistance vient juste après.

    Il s'agit du duo de Lenny Kravitz avec Mickels sur "Are You Gonna Go My Way?". Ce numéro tant attendu est précédé d'une petite introduction biographique de Lenny détaillant tous ses exploits musicaux des origines à nos jours. Vu la longueur du reportage, la production a dû craindre que la ménagère ne se rappelle plus très bien qui est Lenny Kravitz et se dise en le voyant "Tiens, je ne savais pas que Jimi Hendrix était encore vivant" ou pire "Mais qui est ce type ?".

    Comme avec Laurent Voulzy la semaine dernière, un sagouin en régie envoie la bande-son sans prévenir et prend Lenny et ses musiciens au dépourvu. Or, des guitaristes qui produisent des sons sans bouger les bras, on y croit assez moyennement. Lenny est quand même bien présent et secoue le plateau de son énergie. À ses côtés, Mickels est bien présent aussi. Faute de guitare, il ne sait pas trop quoi faire de ses bras mais il affiche sans complexe la rock attitude (ce que Nikos, à l'aise dans toutes les langues, appelle le rock behavior). Mickels a aussi l'air content d'être là, ce qui n'est pas le cas de tous les élèves. De toute façon, je l'aime beaucoup parce qu'il parle assez peu. C'est une grande qualité dans cette promotion, dont les membres ouvrent souvent la bouche, en particulier les garçons, et souvent pour déverser des inepties à haut débit (voir la démonstration plus bas).

    Je vous épargnerai le duo de la jeune Pauline avec Maryline. Je vous en dirai simplement que ce titre-là au moins, on peut être sûr qu'il n'a pas été chanté en playback.

    Vient ensuite l'autre grande attraction de la soirée : les Pussycat Dolls, qui chantent et dansent avec Joanna, apparemment leur plus grande fan. Les Pussycat Dolls sont cinq mais j'ai la vague impression que, d'un point de vue musical, quatre d'entre elles ne servent pas à grand chose, un peu comme s'il y avait quatre Victoria Beckham dans les Spice Girls. Visuellement, en revanche, rien à dire : elles font toutes le show et mettent littéralement le feu au plateau. Vêtue d'un bustier et d'un mini-short noir, Joanna fait de son mieux pour suivre la cadence mais il n'est pas facile d'exister sur scène à côté de la plantureuse Nicole Scherzinger qui la domine d'une tête.

    Après ces six minutes de spectacle à haute énergie, le reste du prime paraît bien fade. J'en retiendrai quand même le duo de Florent Pagny et Gautier sur "Et un jour une femme", qui est accompagné d'une chute de neige du plus bel effet (pas assez puissante pour les ensevelir cependant). Difficile également d'oublier le numéro de danse de Rafaël Amargo, le professeur d'expression corporelle, sur "(Un, Dos, Tres) María" de Ricky Martin. Un peu trop lâche pour des mouvements de flamenco enfiévrés, son pantalon noir descend un peu trop bas, laissant émerger un slip blanc qui nuit considérablement à l'élégance de sa danse.

    Bien entendu, un prime ne serait pas complet sans une rébellion grotesque d'Yvane. La semaine dernière, il avait refusé de voter en faveur de l'un des salariés nominés, "une décision qui a incontestablement créé la polémique" selon Nikos. Aujourd'hui, il commence par chanter le premier couplet de "Bouge de là" de MC Solaar avant d'enchaîner sur une composition de son cru, c'est-à-dire dire un nouvel arrangement de rimes de mirliton et de cabotinage macho sur un rythme ragga. Il achève son tour de piste par un petit bain de foule. La plupart des professeurs stigmatisent ce manque de respect, notamment Armande Altaï qui gratifie Yvane d'un petit 7. Anne Ducros, le professeur de chant, considère néanmoins que "derrière toute cette prise de pouvoir, il y a un artiste". Il faut vraiment bien chercher. Après avoir arpenté un peu la scène à la manière d'un gorille en colère, Yvane croit bon de conclure son numéro d'auto-promotion par quelques harangues supplémentaires "pour le public, pour les gens qui sont là".

    Je ne sais pas si "les gens qui sont là" ont apprécié ce flot déferlant de testostérone mais, vu de son poste de télévision, ce n'était guère plaisant. Je ne sais pas non plus si ces facéties sont préméditées et destinées à réveiller un prime un peu trop somnolent, voire à créer une polémique artificielle pour animer la quotidienne une semaine entière. Personnellement, j'ai juste trouvé ça pénible.

    Il est temps de conclure. Vous vous demandez sans doute lequel des trois nominés à été éliminé. Moi non plus mais je vais vous le dire quand même. Alice a été sauvée par le public avec 48 % des suffrages contre 32,1 % à Édouard et 29,9 % à Gaëtan. Édouard a ensuite été sauvé par les élèves par neuf voix contre deux. Gaëtan avait demandé à ses camarades d'abréger leurs explications sur le thème "Je t'aime mais..." ; ils l'ont fait. Durant son ultime prestation sur "La Boulette" de Diam's, Gaëtan a cru bon de faire un doigt d'honneur à l'intention de Marine Le Pen, un geste d'une telle audace que j'ai failli en tomber à la renverse. Nikos résume le sort de de l'élève en une phrase : "Gaëtan, plein de talent, mais pas suffisamment". Pas suffisamment en effet : sans doute l'euphémisme du siècle.

    À la semaine prochaine (si les dieux de l'audience sont cléments avec la Starac).

    (source : http://fr.tv.yahoo.com/blog/article/11909/)

    Personnellement, toujours assez bluffée par Joanna qui pousse plutôt bien la chansonnette ma foi, même si son tableau sur I will always love you a frôlé le ridicule ..

    Je me suis endormie comme une bienheureuse en plein milieu d'émission, je n'ai donc pas vu les prestations d'Alice, Harold, Anissa, Yvane .. j'en oublie sûrement j'ai autre chose à penser que de retenir les noms des staracadémiciens lol !!!!

    J'ai juste eu un sursaut à la fin pour me réjouir consterner de l'élimination de Gaëtan ..

    Bref, pour résumer en deux mots, le précédent prime : je me suis endormie, celui-ci : je me suis endormie bref ENNUYANT !!!!!

    Après visionnage des vidéos de "mes loupés" je retiens cependant une prestation tout à fait correcte d'Harold avec Daniel Potter, que la "rébellion" d'Yvane est exagérée, d'autant plus qu'on ne comprend pas un strict mot à son charabia, que les prestations d'Alice, Marilyn, Solène (enfin des bimbos de service) sont plus que passables à se demander comment elles ont décroché leur ticket, que celle d'Anissa sauve difficilement une fin de soirée consternante ... ressortent pour moi du lot comme la semaine dernière Harold et Mickels chez les garçons et Joanna et Anissa chez les filles ... je pense que ce quatuor va rester en lice quelque temps .. j'espère sinon c'est à désespérer !!!

    Je me demande si ma lassitude va pas finir par avoir raison de ma curiosité lol .. rendez-vous la semaine prochaine pourtant .. (faut dire que NCIS j'aime pas et qu'à part ça le vendredi soir y'a pas grand chose à se mettre sous la dent à la téloche !!) ...  


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  • Une émission assez plate hier, les seuls moments dignes d'intérêts sont les interprétations a capella des élèves auxquels les professeurs en ont redemandé, ne pouvant honnêtement pas juger une prestation sur trois phrases .. là je parle de musique, enfin j'essaye !!! .. le petit Mickels m'a interpellée mais bon rien qui ne m'ai fait vibrer certes non ...

    La fin de l'émission relève plus du haut comique .. Yvane refuse de voter contre un de ses camarades (ce en quoi il a fort raison ma foi, c'est une partie du règlement qui m'a toujours fait horreur !!!), Anne Ducros demande que les élèves puissent être notés sur des chansons intégrales et en solo ...

    C'est finalement la niçoise, Laure, qui va être éliminée au terme d'un prime triste et sans relief .. Laure, jolie mais inexistante .. Laure, ravissante mais sans voix ..

    Rendez-vous la semaine prochaine pour d'autres surprises ????

    Je regarde plus par curiosité que par intérêt "musical" lol .. !!  


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  • Ce soir, diffusion des premiers épisodes de la Saison 8 ..

    Des épisodes plus sombres ...

    L'équipe a enfin arrêté "le tueur aux maquettes" (une jeune femme déséquilibrée ...) qui s'en est pris à Sara qui a failli mourir dans le désert ...

    C'est la toute première fois que j'ai pleuré devant un épisode des Experts lorsque Sara se réveille en découvrant Grissom lui tenant la main, qui a été donc contraint de dévoiler aux autres ses sentiments pour elle ...

    Très émouvant ..

    Le dernier épisode de ce soir était assez dur ..

    Mais je suis vraiment accro à cette série qui est de loin la meilleure des trois (entre Manhattan et Miami) ... j'adore William Petersen, il est vraiment excellent ...

    Maintenant le dimanche soir c'est mon rendez-vous télévisuel incontournable ..


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  • Ca y'est, le coup d'envoi de la nouvelle saison s'est déroulé hier .. avec aux manettes un Nikos Aliagas en pleine forme .. cette année, l'émission est parrainée par Christophe Maé (j'aime pas sa voix mais j'avoue ce garçon est foncièrement sympathique et puis c'est un pot" de Fred alors ... lol ...) et Rihanna (j'aime bien elle, sacrée voix et belle personnalité) .. beaucoup de nouveautés (un nouveau site, de nouveaux profs, une nouvelle directrice (enfin une revenante .. dans tous les sens du terme lol !!))

    Mais las trois fois las rien de bien transcendant .. je me suis même endormie avant la fin et les cinq derniers j'ai pas vraiment suivi .. !!!

    Quelques-uns m'ont vaguement interpelée (Harold, Joanna, Mickels, Anissa ...) mais sans plus ... beaucoup chantaient faux et approximativement .. les cours vont pas être du luxe ... ni du gâteau !!!!

    A la fin de l'émission (eh oui la compétition commençait déjà ..), déjà quatre "pré-nominés" : Laure, Gaétan, Julia et Alice ...

    Je ne sais même plus qui a chanté quoi mais je crois me rappeler que ces quatre là, oui, n'étaient pas terribles !!!! ...

    Bon j'essaierai de suivre un peu plus attentivement la semaine prochaine ..


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  • Synopsis : Audrey est une jeune Parisienne de 30 ans. Dynamique et ambitieuse, elle est promise à un bel avenir dans la société de cosmétiques bios où elle travaille. Lola, elle, insouciante et tête en l'air, préfère bourlinguer d'un pays exotique à l'autre, enchaînant les petits boulots depuis des années. Mais alors, quel est le point commun entre Audrey, reine de l'organisation qui frôle la maniaquerie et Lola, championne toutes catégories de la gaffe ? Aucun... si ce n'est qu'elles sont soeurs ! Lorsque Lola débarque du bout du monde, enceinte jusqu'aux dents pour s'installer sans prévenir chez sa soeur bien-aimée, au moment où celle-ci est sur le point de décrocher une super promotion, c'est la catastrophe ! Partagée entre l'envie d'aider sa soeur, de réussir sa carrière professionnelle et le désir décuplé de son fiancé d'avoir un bébé, Audrey risque de tout perdre ! Mais, contre toute attente, c'est Lola, par sa fraîcheur et sa spontanéité, qui permettra à Audrey de trouver un sens à sa vie. Enfin !

    Ce téléfilm, petite comédie légère et pétillante réalisée par Nicolas Herdt, diffusé hier soir sur TF1 avait pour principal attrait de réunir à l'écran deux "petites" qu'on a vu grandir : Emmanuelle Boidron, la "fille de Navarro", et Jennifer Lauret, la "fille de Julie Lescault" et aussi la "Frédérique d'une Famille Formidable" ... deux jeunes filles qui ont donc, malgré leur encore très jeune âge, déjà fait leurs preuves ..

    Et j'avoue que je les ai toutes deux trouvées fort convaincantes dans (enfin) des rôles inédits ...

    Jennifer Lauret, fraîche et naturelle, Emmanuelle Boidron plus profonde et introvertie ..

    Deux actrices qui vont de plus en plus compter je pense ..

    Le téléfilm en lui-même construit sur des quiproquos, coïncidences est plutôt insignifiant mais j'ai passé cependant un moment agréable ..


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