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LA STAR ACADEMY 8
Seigneur l'émission d'hier soir a atteint les sommets du n'importe quoi ..
Je survole les prestations (qui ont été éclipsées par les "séquences émotion" !!) des candidats où j'ai bien aimé Mickels (même si un peu en dessous de son niveau habituel), Harold qui s'est déchaîné, Edouard qui m'a agréablement surprise (même si j'ai toujours du mal avec sa coupe de cheveux qui ferait pâlir les pubs pour gel fixation forte !!!), Joanna toujours bien égale à elle-même, Anissa excellente, Solène qui s'est éclatée avec un Julien Doré exaspérant, Alice est nulle mais ravissante, Julia atterrante, sa sortie était inévitable, Maryline inexistante, Yvane ridicule, vocalement et techniquement bien limite quand même, Gauthier ah Gauthier lui alors il commence à me sortir carrément des yeux tant je le trouve hautain, d'une prétention sans commune mesure, sa façon d'interpréter "Quoi ma gueule" n'était pas à la hauteur (je sais mauvais jeu de mots considérant cette espèce de cube qui monte et qui descend à volonté ..), les deux petits se sont d'ailleurs fait tailler un costard en direct par Sieur Johnny himself .. à mourir de rire .. ah tiens j'ai failli oublier Quentin .. c'est dire que sa prestation ne m'a pas marquée outre mesure !!
Mais alors le consternant du consternant, c'est ce méli-mélo pathético-grandiloquent .. la demande en mariage en direct, les larmes dans les bras de papa-maman, les retrouvailles de copines etc.. mon Dieu !!!!!! on se serait cru dans un mauvais jour de la grande époque des Sacrées soirées de Foucault !!!! et l'autre qui veut embrasser Joanna, Gauthier gauche et maladroit face à une Alice ébahie !!
Ils ne savent plus comment faire pour attirer l'audience en titillant la sensibilité du téléspectateur lambda ..
Et puis alors cette notation de plus en plus dure censée pouvoir mieux départager les candidats ben c'est raté complet vu qu'hier soir, il y avait trois premiers ex-aequo !!!!!!!!!!!! du jamais vu .. !!! alors que Mickels aurait mérité une note bien meilleure on accrédite Yvane d'une moyenne au-dessus .. sur la prestation d'hier soir force est de constater qu'objectivement Mickels aurait dû obtenir titiller le peloton de tête .. quoi ?? je ne suis pas objective ??? bon peut-être que non finalement lol .. enfin si .. Yvane est nul ..
Allez moi j'aime Les trois mousquetaires et j'espère qu'ils continueront encore l'aventure le plus longtemps possible (et les trois mousquetrices lol Joanna, Anissa et Solène !!) ...
Par Kevin Moulback
Vendredi dernier, grâce à Jenifer et aux Jonas Brothers, la Starac a un peu remonté la pente. Un peu seulement, parce que 5 millions de téléspectateurs, c'est certes 340 000 de plus que la semaine précédente, mais c'est encore 2 millions de moins que NCIS, la série increvable. Et M6 est bien décidée à faire durer son précieux trésor jusqu'à la fin de l'année, en ne diffusant qu'un épisode inédit par semaine.
Pour tenter de transformer l'essai, Nikos reçoit ce soir une valeur sûre, Johnny Hallyday, le monument du rock à la française, et une valeur montante, Julien Doré, le gagnant de la Nouvelle Star 2007, l'incarnation de la branchitude désinvolte. Avec une combinaison détonnante comme celle-ci, comment peut-on perdre ?
On peut.
Le prime s'ouvre sur une interprétation collégiale du sempiternel "Allumez le feu" et dès les premières notes de ce qui sera un concours de beuglements, on sent que la soirée va être longue. Les vociférations des élèves s'attaquent à une nouvelle chanson innocente, "Vivre pour le meilleur", quand Johnny fait son entrée, tel un colosse, à travers un épais rideau de fumée. Les vocalises d'une chorale ajoutent encore à la solennité du moment. La foule est en délire et scande frénétiquement son nom : "Johnny, Johnny...".
Nikos est ravi d'accueillir Johnny : "Bonsoir Johnny, c'est toujours un plaisir de vous recevoir. Tout le public est vraiment là pour vous ce soir !" Ça fera sûrement plaisir aux autres artistes qui ont fait le déplacement. Johnny a l'air tout aussi ravi d'être là : "Nous aussi, on a beaucoup de chance de pouvoir chanter avec des nouveaux talents parce que ce sont les talents de demain et... et demain ils seront là... et c'est formidable." Comme à chacune de ses récentes visites à la Starac, Johnny semble animé d'une joie incommensurable qui, bizarrement, ne transparaît pas du tout sur son visage. Une joie très intériorisée sans doute.
Il faut dire qu'on ne facilite pas la tâche au malheureux "tôlier" (l'expression qu'utilise Nikos pour désigner Johnny et qu'il est le seul à employer). Une fois de plus, il doit se coltiner l'inévitable "Gabrielle". L'année dernière, c'était un duo avec Bertrand ; cette année, c'est un trio avec Mickels et Quentin. C'est fou comme cette émission se renouvelle ! Même posture, mêmes intonations, mêmes gestes... Pour échapper à l'ennui qui guette déjà, on observe l'auditoire, où l'on repère la petite Jade, la fille adoptive de Johnny et Laeticia. Laeticia n'est pas là ce soir parce qu'elle est au Sénégal avec l'Unicef. Ça sonne comme un mauvais prétexte : elle doit probablement être chez elle à regarder NCIS.
Lorsque Johnny quitte la scène pour aller s'affaler sur le banc où il va somnoler l'essentiel de la soirée, Nikos le met en garde : "Attention, il y a un trou, hein. On tombe régulièrement" avant de s'esclaffer. Une subtile référence à l'accident de la chanteuse Yaël Naïm la semaine dernière. Elle doit sûrement bien rire depuis son lit d'hôpital.
Mais c'est déjà l'heure de la toute première surprise de la soirée. Et quelle surprise ! Pour la récompenser de son travail (elle est deuxième au classement), Céline Dion invite Solène à assister à son concert à Vancouver. Elle est vraiment sympa, cette Céline ! Et tellement désintéressée : j'en ai les larmes aux yeux. Nikos se lance alors soudainement dans un long exposé d'un seul souffle : "Céline, c'est plus de 180 millions d'albums écoulés à travers le monde. C'est un travail énorme. C'est l'artiste féminine ayant vendu le plus de disques de tous les temps. Céline achève actuellement sa tournée mondiale. Elle a fait le tour des cinq continents. Elle s'est arrêtée dans plus de vingt-cinq pays. Et à l'issue de sa tournée mondiale, une compilation de ses plus grands tubes en anglais sera disponible dès le 27 octobre dans un CD simple, My Love Essential, et dans un double CD, My Love Ultimate Essential Collection. Et vous retrouverez notamment les tubes de Céline : 'My Heart Will Go On', 'All By Myself' ou encore 'Tell Him' avec Barbra Streisand, ainsi qu'un titre inédit 'There Comes A Time'. Merci Céline, on vous embrasse fort et on vous attend". Ouf ! Quand la promotion est aussi naturelle et spontanée, c'est vraiment un plaisir. Ça ne se remarque pas du tout !
Mais voici que Lorie s'empare déjà de la scène pour un duo avec Anissa sur "Je vais vite". Une fois encore, je tombe littéralement à la renverse devant cette étonnante originalité. Lorie chante exactement la même chose que l'année dernière ! Une prestation presque impossible à oublier : ça commençait comme une chanson, ça finissait comme un sketch. Cette année, bien décidée à prendre sa revanche, Lorie arbore une superbe tunique rouge, comme celle des grenadiers qui gardent Buckingham Palace. Il ne lui manque que le bonnet à poil. En fait, il lui manque aussi le bas de l'uniforme parce que je doute que les grenadiers se baladent cuisses nues dans les jardins du palais. Anissa, quant à elle, a revêtu une vareuse marine beaucoup plus sobre et elle porte un pantalon. Lorie essaie d'entraîner les spectateurs. "Vous la connaissez !", dit-elle. Ils ne la connaissent pas, ou bien ils sont de mauvaise humeur. En tout cas, ils ne chantent pas.
Soudain, les deux chanteuses et les danseuses tecktonisantes qui les accompagnent abandonnent leurs uniformes martiaux pour des tenues beaucoup plus sexy. C'est pour un deuxième titre de Lorie, "Garçon". Dans la chanson, Lorie s'aperçoit que son fiancé aime un garçon et elle en est fort dépitée : "Comment choisir lui ou moi, lui ou moi, lui ou moi / Sans nous détruire tous les trois, tous les trois, tous les trois". Comme vous pouvez le constater, les textes sont très recherchés. À l'issue de la chanson, Lorie a une surprise pour Anissa : elle l'invite à son concert. Comme c'est original ! Nikos précise immédiatement, de façon assez contradictoire : "C'est complet ! Il reste encore quelques places !". Kamel Ouali, le plus grand chorégraphe de France, pense qu'il faut qu'Anissa y aille. Moi, je pense qu'elle peut même y aller avec toute sa famille parce qu'il a l'air d'y avoir de la place.
Dans la série "Je suis là pour faire ma promo", on passe maintenant à Cléopâtre, la nouvelle comédie musicale de l'illustre Kamel. Sofia Essaïdi incarne la dernière reine d'Égypte, ce qui est ironique puisqu'à l'époque de la Starac 3, dont elle fut demi-finaliste, elle était surnommée la pharaonne. La belle Sofia chante "Femme d'aujourd'hui" avec Joanna tandis que des danseurs kaméliens s'agitent en tout sens autour d'elles. Au vu de la prestance de l'une et de l'autre, Sofia est clairement la reine des reines et Joanna sa fidèle servante (probablement celle qui se suicide à la fin du fameux film de Joseph Mankiewicz avec Elizabeth Taylor). Malheureusement, elle ne se suicide pas avant le deuxième titre, interprété avec Christopher Stills (dans le rôle de César) et avec Harold (dans celui de... d'un gros centurion, j'imagine). Ils chantent tous ensemble "L'accord" : "Une main sur l'Occident et le cœur en Orient / Par l'accord qui nous tient, les deux mondes n'en feront qu'un". Superbe, non ? Kamel, qui chante aussi depuis son banc, a l'air très content d'eux, c'est-à-dire de lui.
Après ce plaisant ballet égyptien, on revient aux choses sérieuses. Nikos rappelle les enjeux aux élèves : "Parmi vous, chers académiciens, il y a peut-être le ou la gagnante de cette saison." Peut-être en effet... du moins on l'espère parce que si le gagnant n'est pas parmi eux, on se demande un peu où il est. Édouard et Gautier ne se posent pas ce genre de questions oiseuses : ils se jettent résolument dans la compétition à l'occasion d'un duo des plus virils. Afin de bien mesurer toute la portée de ce duo, ou plutôt de ce duel - "un duel de mecs sur une chanson de mecs" -, on a droit au pénible rappel de leur altercation à l'issue du dernier prime. Une histoire terrible : Édouard a marché sur le pied de Gautier pour que ce dernier vote pour Harold et... yada yada yada... ils en sont presque venus aux mains. Je vous la fais courte mais cet incident sans aucun intérêt était sans conteste le point culminant de cette semaine à la Starac (à moins que ce ne soit le moment poignant où Quentin pleure à cause de l'huile dans les pâtes).
Johnny, qui s'était paisiblement assoupi sur son banc, se réveille soudain pour écouter les deux jouvenceaux chanter un de ses titres-phares : "Ma gueule". Il aurait mieux fait de rester couché... Édouard et Gautier - qu'on a juchés sur des plate-formes pour qu'ils soient... euh, plus haut - s'engagent dans un concours de regards noirs, de sourcils froncés et de postures mâles. Pour ajouter au ridicule de l'ensemble, ils sont tous deux affligés d'étonnantes coiffures. Édouard a habituellement une coupe ébouriffée, voire franchement verticale, façon Sangoku dans Dragon Ball si vous voyez ce que je veux dire. En revanche, Gautier a, d'habitude, plutôt les cheveux dans les yeux. Mais pas aujourd'hui, où son crâne est orné d'un brushing improbable, façon Bobby Ewing dans Dallas. Bizarrement, la confrontation des deux styles capillaires nuit beaucoup à la crédibilité de l'interprétation. Les duettistes/duelistes achèvent finalement la chanson à quelques centimètres l'un de l'autre. On s'attend presque à un baiser fougueux... mais non, on a droit à la place à un double hurlement à vous vriller le tympan.
Témoin de l'odieux fiasco, Nikos s'approche de Johnny, des excuses à la bouche : "Johnny, ils sont jeunes, ils n'ont pas encore le vécu rock'n'roll mais ils y vont, ils sont émus". Johnny, toujours aussi ravi d'être là, a quelques mots gentils : "Euh oui, c'est intéressant... Euh, qu'est-ce que je peux dire ?". Heureusement, Nikos est là pour l'aider un peu : "C'est une chanson difficile...". "C'est une chanson très difficile", renchérit Johnny, miséricordieux.
Rafaël Amargo, l'exubérant professeur d'expression corporelle d'origine espagnole, donne aussi son avis. Un interprète assure désormais la traduction simultanée. Cela a des avantages et des inconvénients. L'avantage, bien sûr, c'est que, maintenant, on comprend ce qu'il dit. L'inconvénient, c'est aussi qu'on comprend ce qu'il dit. En effet, une fois traduits en bon français, ses propos sont beaucoup moins intéressants. Tout était dans l'accent.
Écœuré par le massacre de sa chanson, Johnny va se réfugier dans sa loge. Il n'en sortira que pour un duo avec Joanna sur "Unchained Melody" ("Unchained Love" en langue nikosienne), immortalisée notamment par les Righteous Brothers et Elvis Presley. Le titre a été enregistré jeudi, ce qui n'empêche pas Joanna d'être notée, fort généreusement (15,2), et Johnny, Nikos et les professeurs de jouer une comédie ridicule à la reprise du direct, comme si la prestation venait tout juste d'être réalisée. Mais il est déjà 22 heures passées et Johnny est fatigué (pas d'avoir chanté évidemment...) ; il s'en va. Il a bien raison : le reste de l'émission va sombrer dans la grotesquerie, enchaînant les "surprises" sentimentalo-poussives.
Maryline, nominée aujourd'hui, voit débarquer son fiancé Bruno, une bague à la main. Il vient la demander en mariage sous une pluie de confettis. Comme c'est original ! Le coup de la bague, on nous l'a déjà fait en 2002 avec Emma et son fiancé Ulrich. Le coup de la demande en mariage, on nous l'a déjà fait en 2006 avec Ely et son fiancé Keven. Les caméras braquées sur elle, Maryline accepte la bague. "Si vous voulez vous marier, c'est ici que ça se passe, ce soir à la Star Academy," hurle Nikos, au comble de la joie. On se croirait à Tournez Manège, la défunte émission matrimoniale d'Évelyne Leclercq et Fabienne Égal.
Pour Alice, elle aussi nominée, c'est pire. Après sa prestation, c'est Gautier le chevelu qui vient lui déclarer sa flamme en déclamant sa mirobolante composition, "Alice", tandis que son comparse Quentin l'accompagne à la guitare avec les trois accords qu'il connaît. La malheureuse jette des coups d'œil effrayés à droite et à gauche, peut-être à la recherche d'une issue pour s'échapper, mais doit se résigner à écouter la pénible aubade jusqu'au bout. Les spectateurs ne sont pas satisfaits pour autant : "un bisou, un bisou...". Nikos est sans pitié : "Le public demande un bisou. Je suis désolé : le public demande un bisou. C'est le public, respectez toujours le choix du public !". Heureusement pour Alice que le public s'est contenté d'un bisou.
Anissa n'est pas nominée mais elle a quand même droit à sa surprise aussi. C'est sa famille au grand complet qui arrive sur le plateau. Il ne manque plus que le chien. Elle, au moins, a l'air contente de les voir, contrairement à Maryline et Alice qui semblaient beaucoup moins ravies de leur "surprise".
Julia, la dernière nominée, paraît aussi très heureuse de voir ses amis déferler sur le plateau tandis que le générique de la série Friends retentit. Il y a toutes ses copines de Lyon et son petit ami, François. Bien sûr, c'est lui que Nikos choisit d'interpeller : "Salut, ma belle".
Après toutes ces "surprises" épuisantes, il y a quand même une vraie bonne surprise. Et comme toutes les vraies surprises, elle vient d'où on ne l'attend pas. Et non, ce n'est pas Julien Doré. Celui-ci fait certes fort bien son numéro habituel de charmeur/provocateur au sourire en coin, jouant avec brio sur tous les tableaux à la fois. Ou comment faire sa promo sur le plateau de la Starac sans être contaminé par la peste staraquienne vulgoïde. Mais son habileté manœuvrière est peut-être un peu plus voyante qu'avant.
La bonne surprise, c'est le duo plein d'énergie de Chris Brown avec Harold. Pourtant, on aurait pu s'attendre au pire au vu du reportage introductif sur Chris : "Il est connu dans le monde entier, il vend des millions de disques, il a une fortune colossale". Ce qui en langue de la Starac signifie : "Vous n'en avez jamais entendu parler mais c'est énorme alors ne zappez pas". On aurait aussi pu s'attendre au pire parce que le titre retenu, "Kiss, Kiss", est résolument hip hop et donc un contre-emploi complet pour Harold, qui nous serinait la "Lettre à France" de Michel Polnareff la semaine dernière. Malgré tout, il n'est pas ridicule du tout, même si, au début, il est confiné sur le côté avec le DJ tandis que Chris sautille sur le plateau central avec ses danseurs. L'énergie est communicative et emporte le public, y compris quelques impertinents qui parviennent à s'infiltrer sur la scène avant d'en être expulsés manu militari. Ce n'est clairement pas de la grande musique mais ça change un peu de la léthargie qui prévalait jusqu'alors.
Bien sûr, Nikos ne peut pas résister à la tentation et pose à Chris Brown, qui porte un petit sac sur son dos, la question qui tue : "Qu'est-ce que vous avez dans votre sac à dos ?" Apparemment, ce n'est qu'un accessoire : il est vide. Je vous laisse néanmoins envisager toutes les possibilités : une petite collation d'après-prime, un pain d'héroïne, un crâne de cristal...
Mais voici que le prime touche à sa fin. C'est le moment où la ménagère dit à son mari : "Je savais bien qu'on aurait dû regarder NCIS". Et où son mari lui répond : "Mais il y avait Johnny !" Et où elle dit : "Tu parles ! Johnny, il avait l'air de s'emmerder autant que nous !" Et c'est là que Chris Brown arrive sur scène pour une ultime chanson avec Joanna. Et là, la ménagère et son mari s'écrient d'une même voix : "Ah non, pas encore une !".
Néanmoins, les pires choses ayant aussi une fin, on arrive quand même au moment fatidique du résultat final. Alice est plébiscitée par le public avec 60 % des suffrages contre seulement 24 % pour Maryline et 16 % pour Julia. Maryline est sauvée par ses camarades à une large majorité et Julia retourne à Lyon avec tous ses petits amis. Elle en a de la chance : Maryline, elle, se retrouve avec un mari sur les bras.
C'est fini pour aujourd'hui. À la semaine prochaine.
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