• Hier soir, à l'occasion de l'avant-première du film LE PRENOM, j'ai pu rencontrer Patrick Bruel, furtivement mais intensément ...

    Depuis le temps que je suis sa carrière, sans être fan absolu, j'aime tout de même vraiment beaucoup ...

    Un grand acteur ...

    http://www.blogg.org/blog-91357-billet-le_prenom-1388553.html

     


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  • Après le concert de vendredi soir, Cédric (The Artist ...) s'est produit en showcase au Cultura ...

    Le contexte et la configuration sont ici totalement différents, il est accompagné seulement de ses deux guitaristes ... et j'avoue avoir finalement davantage apprécié ce concert au précédent, le son y est considérablement meilleur, et je me suis confortablement installée dans un fauteuil souple idéalement placé (pour les photos c'est beaucoup mieux) ...

    Comme à son habitude, quel que soit le nombre de spectateurs, Cédric se donne à fond, y met tout son coeur et trempe la chemise ...

    Quelques personnes s'attardent le temps d'une chanson ou deux, le présentoir se vide ...

    Je suis encore vraiment transportée ... comme d'habitude ... même si j'avoue un peu moins aimer certains titres, je suis tellement charmée par sa voix et ses qualités d'interprète que je ne peux qu'être conquise (euh ... ne l'étais-je pas déjà depuis longtemps ??? ...................... si !!!!! .... mais bon encore plus !!!! .....)

    Et surtout il est tellement généreux, dans le partage et la complicité ... je suis définitivement et irrévocablement séduite ...

    A tout jamais ...

    Pour toujours ...

    Comme l'indique l'affiche (ce n'était pas fait exprès bien sûr mais la promotion de la sortie DVD du film est bienheureuse ...!!) , il est The Artist ... le grand et l'unique ... pour toujours et à tout jamais ...

    (ps : toutes mes photos sur Facebook ...)

    MERCI CEDRIC

    DU FOND DU COEUR

    MERCI


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  • Un an et demi que je n'avais pas vu Cédric en concert !!! un an et demi ... !!! un siècle, une éternité ... le dernier remonte à Septembre 2010 lorsqu'il s'est produit en première partie de Nilda Fernandez ...

    C'est dire que j'attendais celui-ci impatiemment et que j'ai surtout eu l'opportunité d'y aller grâce à une amie sans laquelle je n'aurais certainement pas pu m'y rendre ... (merci à toi ô âmie ... :) ... smiley qui se prosterne !!)

    Bref ...

    Nous voilà donc en la place, à la même table que la dernière fois (!!), et après le délicieux repas, Cédric envahit l'espace avec ses musiciens (Lionel, Simon et Sébastien) ... 

    Dommage que le son ne soit pas optimum et que la batterie couvre un peu le reste en résonnant, mais rien ne me perturbera ... j'apprécie l'instant à sa juste valeur, précieux, inestimable ...

    Car il est magique cet instant-là, Cédric défend - enfin - son album sur scène .. son album sorti le 5 mars dernier et qui tourne beaucoup dans mes oreilles ...

    Enfin cet album tant attendu existe ... et non seulement existe mais se transpose magnifiquement en live ...


    Cédric nous propose quasi l'intégralité des titres, de Attendez, le premier single, à Sauver en passant (dans le désordre) par La horde sauvage, sauvage et entraînante, Un jour de solitude par semaine, La valise en acoustique qui me bouleverse, La foule des choses dont les allitérations résonnent agréablement, De l'autre côté, Balade sur les toits, autant de chansons toutes plus magnifiques les unes que les autres, mais le summum de mon émotion est dans les interprétations sublimes de Haven't we met (aux accents biolesques ...) et surtout Reviens (ma préférée) qui me laisse en apnée totale à chaque fois.

    Ces deux titres ne succèdent dans une parenthèse enchantée d'une bonne dizaine de minutes, ma machoire se décroche, je meurs ...

    Sur scène, Cédric, bourré d'un charisme déconcertant, donne une dimension surnaturelle à ses compositions (quel guitariste tout de même ... !!! il ne fait pas que gratouiller ... !! loin de là ... !!) et textes ... il les vit, les ressent, les transcende, y met un peu de folk, un peu de rock, parle de sa mer, de ses amours, de ses peurs, de rencontres, de séparations, de retrouvailles ... il conclut chaque morceau par des élans vocaux qui vous scient et vous scotchent à la chaise ... un style atypique et si particulier qui n'appartient qu'à lui ... et nous, pauvres spectateurs démunis, ne pouvons qu'être totalement sous le charme de ses incroyables interprétations tellement animées, vivantes, troublantes ... de sa voix veloutée, puissante, maîtrisée et nuancée, il vous envoûte en un quart de seconde ... il a parfois des petits décrochés vocaux qui vous retournent les sangs ... le tout est d'une sensualité renversante ... impossible de résister, ne même pas chercher à résister, se laisser aller divinement, baisser la garde, relâcher les tensions, vibrer ...

    Quel bonheur de retrouver ces sensations, dans ma gorge serrée coulent des larmes nouées d'émotion, mon coeur palpite, les frissons m'envahissent ... que c'est divin ...

    Après le concert qui dure environ une heure (c'est trop court, nous avons tenté un rappel, las la salle est presque vide ...), Cédric, toujours disponible et gentil, se prête au jeu des dédicaces (toujours aussi longues, jolies et touchantes) et des photos ...

    Cet artiste est non seulement un immense artiste mais aussi un homme au coeur d'or ...

    Quelqu'un de rare et cher ...

      

        

    (ps : toutes mes photos sur mon Facebook)


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  • Son "Oh putain !" a choqué l'Amérique puritaine, il s'en est ensuite excusé, mais cet écart de langage ne faisait qu'exprimer sa joie extrême d'un instant rare et précieux, tout à l'euphorie de ce moment privilégié.

    Jean Dujardin triomphe et The Artist, le film de Michel Hazanavicius vient de passer le week-end le plus extraordinaire de l'histoire du cinéma français.

    Jean Dujardin devient le tout premier acteur à remporter la statuette tant convoitée et c'est également la première fois qu'un film non anglo-saxon rafle trois des quatre récompenses les plus convoitées.

    Sur ce seul week-end entre les César et les Oscars, The Artist cumule pas moins de 11 récompenses : 6 César et 5 Oscars ... soit un total, toutes cérémonies confondues, de plus de 90 trophées ... !! un record ... (voir mon blog Le cinéma de Lara)

    Pourtant, Jean Dujardin garde les pieds sur terre et la tête froide, toujours intelligent et lucide ... après avoir passé quelques jours hors du temps et de l'espace, toujours accompagné de sa ravissante femme Alexandra Lamy qui le soutient sans faille, sa famille - à eux deux ils ont trois enfants - et la vie vont se charger de le replacer dans le droit chemin de sa vie d'acteur français "ordinaire" ...

    A noter mercredi prochain la sortie des Infidèles, film à sketchs sur lequel il a travaillé avec son pote Gilles Lellouche, qui était présent également à Los Angeles pour le supporter ... un prévisible succès ...

     


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  • Hier soir a débuté sur TF1 une nouvelle émission musicale intitulée The Voice.

    Le principe est que les jeunes chanteurs se produisent "à l'aveugle" devant un jury qui leur tourne le dos de sorte qu'ils ne sont pas influencés par le physique et/ou l'âge des artistes et pour unique critère les sensations ressenties à l'écoute de leur prestation.

    Quelle n'a pas été ma surprise d'y voir Ludivine Aubourg, chanteuse que j'ai vue de nombreuses fois sur la scène de Cocktail de Nuit, réussir une interprétation plus que magistrale et gagner le droit de continuer l'aventure.

    Quel changement ... physiquement déjà et dans sa tenue de scène et dans sa maturité vocale ... elle a vraiment assuré ...

    Je lui souhaite un long chemin dans cette nouvelle aventure prometteuse, j'ai trouvé le niveau très élevé et les particpants retenus ont tous un vrai talent. Par contre, je n'aime pas trop l'attitude "belliqueuse" entre les membres du jury constitué de Florent Pagny, Jenifer, Louis Bertignac et Garou qui se font la guéguerre pour attirer dans leur camp les artistes qu'ils souhaitent coacher ... on se croirait dans une cour d'école .. !!

    A noter que la semaine prochaine, Elodie Balestra s'y produira également (elle je l'adore vraiment elle est sublime) et on a pu y voir aussi Patrice Carmona que j'ai déjà vu en live également deux ou trois fois et avec qui j'avais un peu parlé, Stéphanie Lamia, Ivan Pavlak ... beaucoup de connaissances ... !!!

    http://videos.tf1.fr/the-voice/the-voice-ludivine-aubourg-interprete-stop-7017260.html


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  • Hier après-midi j'ai avantageusement remplacé ma séance ciné par le showcase des Portalis qui se produisaient au Milonga de Plan de Campagne à l'issue d'une série de concerts dans le sud-est de la France.

    En premier lieu, ils s'installent tous quatre derrière les pianos du hall d'entrée pour proposer deux titres (dont Sing que j'aime vraiment beaucoup) de leur nouvel EP "Invisible Science".

    Cette "mise en bouche" est bien agréable avant que nous nous dirigions vers la petite scène improvisée mais bien organisée, avec les spots de lumière et tout ce qu'il faut là où il faut, et que nous nous installions devant.

    Le live ici prend toute son ampleur, même si la qualité du son n'est pas optimum, Gilles se donne à fond comme pour n'importe quel autre concert de plus grande importance.

    Les quatre membres du groupe sont réellement investis et nous offrent de bien chouettes morceaux dont à nouveau Sing mais orchestré différemment, en alternant leurs nouveaux titres et quelques anciens que je connais davantage. J'adore les chansons qui changent de dynamique, qui partent dans tous les sens ...

    J'aime vraiment décidément beaucoup ce groupe, à dix mille lieues du spectacle Adam et Eve (que je cite sciemment, Gilles saura pourquoi ;)))), dont l'énergie est communicative, l'enthousiasme débordant et le talent abondant.

    Gilles a un style de voix comme j'aime, haute et bien placée, techniquement au top, limpide et sûre.

    Tous quatre occupent entièrement la scène et l'espace et nous apprécions la convivialité et la complicité qui se dégagent de leur prestation.

    Après le showcase un peu trop court à nos goûts respectifs (Gilles est frustré de n'avoir pas pu joué plus longtemps), nous pouvons faire dédicacer l'album, faire des photos avec aussi Mamzelle Carini (!!!) et discuter un moment.

    C'était un moment vraiment sympa et qui a compensé un peu (bon ça ne compense toutefois jamais complètement un vrai concert dans une vraie salle mais ce peu là était déjà beaucoup et donne une bonne idée de leur style et univers qui ne sont pas sans rappeler du Coldplay, Muse etc.) le fait de n'avoir pu aller à Gardanne jeudi soir.

    Merci au groupe et surtout à Gilles Amore, le chanteur/leader, très gentil et disponible ... un peu taquin aussi !!!! ...

     


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  • Samedi 18 février 2012 – 21 h 00 : l’impatience est à son comble, les lumières s’éteignent … entouré d’un halo de lumière, le narrateur (Sam Stoner) accompagné de quelques danseurs entre dans la salle par l’arrière et remonte l’allée jusqu’à la scène … la musique s’élève … le ton est donné … le spectacle peut commencer … 


    En préambule, un flash info qui fait irrésistiblement penser à une parodie de parodie (on dirait Chantal Lauby et Alain Chabat au meilleur temps de Les Nuls en Pénélope Solete et Maurice Chevalier ….. c’est assez risible, voire ridicule, et fort décalé, mais cela apporte une touche d’humour et de légèreté !!!) présente l’intrigue (ou comment est revisitée la Genèse … et s’il était donné une seconde chance à l’humanité … et si Adam et Eve n’avaient pas croqué la pomme …) et les personnages …


    Enfin le rideau s’ouvre sur un plateau d’abord décoré simplement mais assez ahurissant …


    De là où je suis placée, loin, au balcon, je domine et j’ai une magnifique vue globale d’ensemble mais je ne vois pas les visages ni ne distingue les attitudes, les gestuelles (je regrette d’ailleurs que les écrans géants installés de chaque côté ne soient pas utilisés à la seule fin de filmer les protagonistes pour que tout un chacun puisse apprécier les performances de plus près, ce serait pourtant très facile et pas forcément très coûteux à mettre en place … ils filment bien les gens dans la salle pendant le temps d’attente c’est d’ailleurs assez amusant !!) …


    Je suis d’emblée abasourdie par la qualité d’un danseur à l’extrême gauche (et me demande d’ailleurs une fugace seconde si c’est bien lui !! si si, je n’ai pas rêvé !!) : c’est bien Thy, mon Thy,  Thierry Amiel … qui s’intègre parfaitement à la troupe … et il danse !!! bien !!!!  bon, pas extraordinairement, il ne faut pas exagérer non plus mais il se débrouille pas trop mal (sur du bollywood c’est tout de même une immanquable curiosité …) surtout quand on l’a connu à ses débuts assez rigide et peu enclin à mouvoir son corps autrement qu’en se balançant avec son pied de micro (ah le fameux pied de micro !!!!!!) au rythme de ses chansons dans le cadre de ses propres concerts.


    Ici, l’aventure est tout autre. Même de tout là-haut on voit bien qu’il est heureux et épanoui au sein de cette troupe unie et complice. Il s’éclate. Et j’ai été très agréablement surprise des progrès qu’il a accomplis dans le secteur de la danse et du jeu de scène (hors chansons je veux dire …).


    En évoquant les chansons, il est magnifiquement servi par un répertoire qui lui va comme un gant. Sa voix est toujours aussi pure, limpide, belle, même presque plus car elle a gagné en maturité, en puissance, en placement, en justesse, les montées sont maîtrisées, il a appris à se poser, il est serein et comme apaisé …  le trac doit être pourtant là mais ne se ressent nullement, je pense qu’il doit peu à peu prendre assurance et confiance au fur et à mesure des représentations .


    En première partie, les tableaux se succèdent au gré de l’intrigue, sur fond de décors féériques et fantasmagoriques (on voyage dans plusieurs mondes et plusieurs genres :  ballades touchantes, chansons pop, chansons rocks, chansons pop-rocks, chansons electro-pop, reggae, etc., Pascal Obispo explique qu’il ne voulait pas lasser le spectateur en s’enfermant dans un seul style …), les danseurs excellent, envahissant majestueusement l’espace … le regard est sans cesse sollicité par les artistes qui exploitent chaque dimension de la scène (à droite à gauche, au fond, devant, en haut)  … j’en ai loupé des choses à voir, cela mériterait presque donc d’être revu … de plus près pour en avoir une autre perspective et mieux voir les artistes en action …


    Les chansons ne brillent pas par leurs textes parfois un peu simplistes mais par contre on ne peut nier que Pascal Obispo est un sacrément bon compositeur et mélodiste, les titres s’enchaînent avec fluidité, le tout est réellement agréable à suivre, visuellement sublimissime, pas forcément aussi époustouflant que je ne l’imaginais à la lecture des différentes critiques dithyrambiques qui fleurissent depuis le triomphe de la première (où sont les standing ovations annoncées ???) mais vraiment bon et très éclectique.


    Après un entracte d’une dizaine de minutes (dommage tout de même cet entracte qui coupe l’ambiance mais je le suppose inévitable : repos des artistes et mise en place de nouveaux somptueux décors), la seconde partie commence encore sur un flash info dont on aurait pu se passer, c’est drôle mais pas indispensable (on en aura aussi un à la fin qui conclut par contre parfaitement l’histoire même si toutefois quelque peu incongru à mon goût, je me demande même où pourrait bien se situer ici l’influence du dément Michaël Youn – proche ami d’Obispo - je ne serais guère surprise qu’il y ait mis son petit grain de sel !!)  …


    Mais c’est sur cette flamboyante deuxième heure de spectacle qu’on se laisse embarquer sans retenue dans le voyage.


    Tandis que la première partie était un peu une sorte de mise en place de l’histoire et des personnages, la deuxième est un show d’une qualité rare, rythmé  et entraînant (les singles que l’on commence à bien connaître s’y enchaînent …).


    Mais la constante de tout le spectacle (car c’est un spectacle, un vrai spectacle, pas une simple comédie musicale, ce serait restrictif de dénommer cette œuvre grandiose et magistrale « comédie musicale » … !!) est que les tableaux sont tous plus beaux les uns que les autres, accompagnés de  vidéos projetées en arrière-plan.


    Certains atteignent des paroxysmes émotionnels (Je te jure interprété par Cylia - quelle voix et quelle allure elle a cette jeune demoiselle !! - est une petite merveille, Ma bataille qui commence en piano voix vous glace d’exquis frissons, la voix de Thierry est ensorcelante et j’ai  retrouvé sur ces deux minutes d’intro mes sensations d’antan, c’est trop court, on en voudrait encore, tandis qu’il saisit des flambeaux avant d’entamer la suite de la chanson qui change alors de dynamique …), d’autres sont très rythmées et vous donnent envie de vous lever pour danser et taper dans les mains (Game Over est une réussite, Thierry esquisse des pas de danse en haut sur la passerelle qui m’ont fait halluciner, il m’a fait rire !! … - qu’il est loin le temps de ses débuts timides -, Ce qu’on ne m’a jamais dit, le troisième single, prend une tout autre allure sur scène, ça en jette !!) … les seconds rôles sont tous bien mis en lumière, Solal est à tomber par terre (mon Dieu qu’il est beau, on dirait George Clooney en mieux !! si si c’est possible … !!), Liza Pastor est ravissante et douée, sans oublier de citer également Noémie Garcia, Nuno Resende ... toute la troupe de danseurs est exceptionnelle et propose des chorégraphies fabuleuses, endiablées et multidimensionnelles (dirigées par Tokyo) qui ne sont pas sans rappeler les exploits des artistes du Cirque du Soleil (danseurs aériens,  acrobates) …


    C’est riche, très riche, trop peut-être (c’est impossible d’avoir le regard partout, on voudrait avoir six paires d’yeux pour ne pas en louper une miette, j’ai même raté la scène du lit car j’étais captivée par la prestation des danseurs qui évoluaient dans les airs), ça foisonne d’idées, d’artifices, de lumières, de couleurs, d’accessoires, les costumes sont splendides … Au bout du compte, finalement, je réalise n'avoir pas vraiment suivi attentivement le déroulement de l'histoire, malgré une réelle recherche scénaristique, mais j'ai plutôt savouré les tableaux presque indépendamment les uns des autres en me laissant bercer dans la magie du spectacle.


    Le tout dernier Rien ne se finit permet de quitter la troupe sur une promesse …


    Le final est émouvant (Pascal Obispo monte sur scène pour le dernier salut), les fans/groupies (dont moi, j'assume !!!) peuvent enfin s’approcher au plus près, toucher les mains, voir les visages heureux des artistes, les photographier pour rendre le souvenir de cet incroyable show indélébile.


    Pascal Obispo signe sans nul doute un spectacle hyper moderne et inédit, très stylé, d’une classe folle, éclectique et abouti, j'irais jusqu'à dire futuriste et visionnaire, bourré d’énergie et d’enthousiasme, on perçoit sa maîtrise et son perfectionnisme dans sa réalisation parfaite où rien n’est laissé au hasard … se succèdent de bien jolis titres, même si certains sont à mon sens un peu moins réussis que d’autres … de nouvelles dates sont d’ores et déjà annoncées et ce jusqu’au 18 mars 2012 au Palais des Sports de Paris, outre la tournée à suivre dans toute la France et même en Belgique en début d'année prochaine ...


    J’espère que pour Thierry ce succès sera un nouveau début, j’aimerais sincèrement que sa carrière s’envole à la hauteur de ce qu’il mérite, surtout après l’échec de son troisième album (une collaboration avec Obispo – je n’oublie pas avoir été fan de lui aussi  fut un temps, avant .. !! -  pour son prochain album solo  ?? hum moi ça me dirait bien s’il s’accompagne d’un bon auteur !!! …) … on a beau dire tout ce que l’on veut, fan ou pas fan, force est de reconnaître en toute objectivité qu’il a non seulement une voix exceptionnelle mais aussi une qualité d’interprétation hors norme … rares sont les chanteurs qui savent ainsi transmettre l’émotion et donner autant d’eux, faire de leurs failles et faiblesses une force pour transmettre et partager leur plus profonde émotivité … le voir aussi épanoui et radieux dans ce spectacle me rend bêtement très fière de lui … il est un peu comme un enfant que j’ai vu grandir … et là, ça y’est, il s’accomplit ... il s’affranchit …


    Pour conclure je n’ai qu’un mot à dire : MERCI … merci à Thierry, merci à Cylia, merci à Pascal, merci à tous les artistes et à tous ceux qui ont contribué à réaliser un spectacle d’une telle richesse, d’une telle intensité.


    Et merci pour les photos à la sortie des artistes (Solal d’une patience d’ange malgré la pluie, Thierry qui a fait vite mais toujours attentif à faire plaisir à tous ceux qui l’attendent … moi comprise … !! avec un sourire, un mot gentil, un regard profond … et troublant !! voire le clin d’œil complice ou son signe de tête entendu …)...


    Et merci aussi à mes thyzamies sans lesquelles cette géniale soirée n’aurait pas eu la même saveur …

     

                   (toutes mes photos sur mon Facebook)


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  • Thierry et Cylia étaient jeudi dernier en promotion marathon sur Marseille. Après une interview à Radio Maritima sur Martigues, ils sont venus dans l'enceinte de RFM, radio située à ......... dix minutes de chez moi ... (avant de terminer à Radio Star en fin d'après-midi)

    Ni une ni deux, avec une Syella, une thy-copine, on s'organise pour y aller ... bingo .. à deux, on se sent plus fortes pour pousser les portes et se présenter ...

    Et nous sommes accueillies comme des reines, super gentiment, on nous déroule le tapis rouge, nous offre le café ... et c'est à l'instant où je sirote ma première goutte que Sieur Thierry arrive accompagnée de sa "manager" (ouh la la pas commode celle-là !!) et de Cylia, tout sourire ...

    Je repose prestement ma tasse en carton sur le comptoir pour saluer Thierry qui ne peut que nous passer devant et ne pas nous louper puisque nous étions postées à l'entrée et que le couloir était fort étroit ...

    Le coeur emballé et la main tremblante je lui dis un bonjour enthousiaste, lui demande s'il ne m'a pas oubliée (non non), s'il se rappelle de moi (oui oui), et lui offre un "ça me fait plaisir de te voir" pour obtenir en réponse "moi aussi" ... !! non je n'ai pas rêvé, il m'a dit "moi aussi", Syella me le confirme au moins six fois !!!

    On nous installe dans un coin le temps de l'enregistrement et nous entendons l'émission concomitamment dans les haut-parleurs, j'aperçois Thierry derrière la vitre ..

    Ensuite, nous avons pu rester environ un quart d'heure avec eux deux, à discuter de tout et rien, à faire des photos ...

     

    J'ai été vraiment très heureuse de revoir Thierry après ... hum ... trois ans ? quatre ans ? ...

    Notre complicité intacte, son air taquin et son humour sous-jacent toujours présents, il était détendu, souriant, épanoui, l'air vraiment bien dans sa peau et heureux de toute l'aventure "Adam et Eve" ...

    Rendez-vous sur la scène parisienne du Palais des Sports à partir du 31 janvier 2012 ... moi j'y vais avec mes copines le 18 février ... et il a intérêt à assurer le petiot ^^^^ je lui ai mis la pression !! lol ...

    C'était vraiment un moment très privilégié et très intime (puisque nous n'étions que deux ... et pas des groupies non non !!) et je crois que c'est un souvenir qui restera inoubliable ...

    (toutes mes photos sur Facebook)


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  • En première partie du spectacle de Laurent Chandemerle, se produisait Cédric Chupin, jeune chanteur angevin de 19 ans dont la vocation s’est révélée vers l’âge de 12 ans.

    Déterminé et motivé, il court les castings, participe à de nombreux concours depuis plus de quatre ans – et en gagne beaucoup, chante au sein d’un orchestre régional (FORUM), passe en première partie d’artistes renommés tels Yves Duteil, Philippe Lavil, M. Pokora, ou dans le cadre de diverses manifestations comme le Téléthon ; jusqu’à même participer récemment à l’émission de Nagui N’oubliez pas les paroles, qui lui offre une belle opportunité d’exprimer son talent devant un public averti et de nombreux téléspectateurs, lui permettant d’acquérir une belle ouverture médiatique et d’enrichir son expérience, malgré la frustration de n’avoir pu interpréter des titres lui convenant davantage, pas vraiment dans son répertoire de prédilection.

    Il a la passion artistique ancrée en lui. Pour assurer voire assumer sa carrière de chanteur, intelligent et lucide, il poursuit parallèlement des études pour devenir professeur de danse et s’essaye également au mannequinat (il peut, il est ma foi fort charmant …).

    Cédric est donc non seulement un artiste polyvalent (qui serait bien tenté par les comédies musicales) mais aussi et surtout un autodidacte, élevé au sein d’une famille qui n’est nullement dans la partie mais qui le soutient sans faille dans ses choix.

    En début de prestation, il démarre par « Souvenirs souvenirs ». Je ne soupçonnais pas, en discutant avec lui et en ayant été touchée par sa douceur et son apparente fragilité, qu’il avait une voix aussi sûre et puissante, assise et posée, réellement surprise par la qualité vocale qu’il présente alors qu’il n’a jamais pris de cours de chant de sa vie. Il a un incroyable don naturel qui demanderait peut-être quelques petits réajustements et améliorations purement techniques (quelques cours suffiraient, il ne s’agirait pas qu’il soit formaté et qu’il perde ainsi sa spontanéité et son individualité), mais déjà très sûr, riche de belles nuances et dans une tonalité très agréable (voix de baryton).

    Il enchaîne ensuite sur « Amsterdam », « Emmenez-moi », « Con te partiro », « Jolie môme », « Les lacs du Connemara » et en rappel « Suzette » et « Requiem pour un fou », autant de chansons mythiques qu’il apprécie, qu’il ressent et qu’il interprète de fait d’une manière réellement personnelle, généreuse et sensible, et franchement sur Requiem pour un fou j’irais même jusqu’à dire qu’il m’a littéralement scotchée.

    Un jeune homme fort prometteur que je vais désormais suivre avec attention et intérêt.


    (autres photos sur mon Facebook)

    Lien vers son site officiel : http://cedrichupin.e-monsite.com/


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  • Mercredi dernier, j'ai eu l'opportunité de voir cet artiste en spectacle.

    Laurent Chandemerle est un imitateur qui se produit souvent dans les émissions de Patrick Sébastien (Les années bonheur, Le plus grand cabaret du monde) et qui présente son show sur scène dans toute la France.

    Je ne le connaissais jusqu'alors que de nom, l'artiste mérite qu'on s'y arrête.

    Il a un panel de voix impressionnant, se frotte même à quelques voix féminines (il campe une incroyable Geneviève de Fontenay). En quelques accessoires (beaucoup de couvre-chefs), il se glisse dans la peau d'artistes de tous horizons (crooners américains, présentateurs (son Jean-Luc Delarue est excellent ...), chanteurs et chanteuses, etc.) et de toutes époques (il propose un tableau très touchant alternant les imitations de Gabin, Montand, De Funès, Bourvil) ...

    Un orchestre (SUSPENS ORCHESTRA) l'accompagne pour les tableaux musicaux.

    Ses textes sont plein d'humour, parfois cyniques, incisifs mais jamais vulgaires, bien écrits, bien interprétés et toujours respectueux.

    Il a un vrai talent non seulement d'imitateur mais d'acteur, le mimétisme est par instants réellement bluffant.

    De chaque côté de la scène, deux écrans géants permettent aux spectateurs des rangs éloignés de mieux apprécier les tenues parfois extravagantes mais surtout les mimiques et attitudes de Laurent Chandemerle qui accentuent l'imitation.

    J'ai pu ensuite parler quelques instants avec lui et avoir ma dédicace, ma photo ...


    L'homme est par ailleurs, qui plus est, éminemment sympathique ...

    Ce qui est toujours appréciable et qui donne envie de le connaître mieux ..

    (photos sur mon Facebook)


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