J'ai découvert ce duo d'humoristes dans l'émission On ne demande qu'à en rire de Laurent Ruquier, très bon vivier de nouveaux talents tels Jérémy Ferrari, Arnaud Tsamère, Arnaud Cosson, Florent Peyre, Garnier et Sentou, Constance, Nicole Ferroni, Olivier de Benoist, etc.

Composé de deux personnalités totalement antinomiques, il s'appuie sur des textes percutants et sur le comique du paradoxe.

J'ai eu l'occasion lundi soir d'aller les voir dans leur propre spectacle, dans une toute petite salle d'une capacité de moins de cent personnes, très conviviale et chaleureuse.

Le spectacle est conçu autour d'une vraie dynamique de couple dans le cadre de saynètes dont le fil conducteur est l'histoire d'une provinciale qui retrouve à Paris son ami d'enfance.

Les deux personnages sont au summum de la caricature : la fille est mal fringuée, assez vulgaire (vulgaire dans le sens simple et simplette), pataude, lui est le vrai parigot hautain, méprisant, suffisant. Ils vont peu à peu évoluer pour finalement basculer .......................... 

Ce qui fait rire ici est le contraste permanent entre les deux, les répliques qui fusent faisant mouche (même mal) à chaque fois (lui est vraiment vachard !!!), c'est intelligent et drôle.

L'écriture est pertinente, pleine de dérision et d'auto-dérision, le jeu des deux acteurs est toujours juste, ils font participer les spectacteurs du premier rang, installant une bien agréable complicité.

Le format est court (une heure) mais en tire une bonne dynamique et de l'intensité.

On retrouve avec plaisir les deux acteurs (Sandra Colombo et Pascal Rocher) qui offrent une réelle continuité et une vraie cohérence par rapport à ce qu'ils proposent dans le cadre de l'émission.

Un très bon spectacle bien mené et bien ficelé.

Nous les avons attendus après et avons pu parler un moment avec eux. Ils sont très sympas et j'ai vraiment apprécié discuter avec eux.

Et sans oublier ma petite photo souvenir ...

Le dernier album de Nicolas Peyrac se compose de deux CD et un DVD ... le premier est son dix-huitième album studio rempli de plein de belles chansons aux textes forts et aux mélodies toujours aussi bien travaillées et agréables, le deuxième s'appelle Di(x)version qui propose des réorchestrations de ses tubes très originales, ce qui nous permet de réentendre un Et mon père ou encore Je pars (outre huit autres chansons) totalement inattendus ... ce qui fait autrement plaisir quand on les connaît par coeur.

Le DVD est un portrait de l'artiste. Cet artiste qui a bercé toute mon adolescence et plus encore, celui qui a su panser toutes mes plaies et douleurs par ses mots et ses chansons. Cet homme profond et intelligent que j'aime énormément.

A découvrir et /ou redécouvrir sans attendre ...

J'ai découvert Alain Cordier / Alain Corson dans l'orchestre Mephisto, aux côtés de ma petite Céline Gauthier une de mes chanteuses préférées et de Ivan Pavlak, autre artiste de talent ...

Aujourd'hui sous le nom de CORSON, Alain propose un titre à tomber par terre, jouant avec une très large tessiture, de superbes nuances vocales, une composition sublime, dans le style de ce que j'aime et qui me fait vibrer ...

A découvrir absolument si vous aimez l'alternative, la bonne musique et les jolies voix.

(date officielle de sortie de l'EP le 15 décembre prochain)

Depuis que j'ai découvert cet artiste je l'écoute en boucle.

A l'image de la pochette de son album, la musique de Jono McCleery est sobre mais efficace ... la voix légèrement cassée, légèrement brisée, veloutée est envoûtante, les mélodies sont des ballades magnifiques toutes plus belles les unes que les autres, le style est épuré, frais, aérien ...

Les arrangements sont sublimes, l'écriture est simple, fine et raffinée, délicate et précieuse ...

Un album "alternative" (ce que j'écoute désormais le plus comme genre, ce n'est pas vraiment du rock, pas vraiment de la pop, à dix mille lieues de la variété facile) qui donne envie de plâner et de s'évader ...

Il est vrai que le ton est plutôt mélancolique mais jamais plombant, jamais larmoyant ... émouvant et troublant, ça oui ...

Je rapprocherais son style de l'excellent Bon Iver que j'écoute aussi beaucoup ...

A découvrir d'urgence si vous aimez les belles voix sur des belles chansons (Tomorrow est juste une tuerie) ...

http://www.deezer.com/fr/music/jono-mccleery/there-is-1227437

Une semaine après sa sortie (24 octobre 2011), l'album est plutôt bien placé dans les "charts" (6ème toutes catégories confondues).

Je suis agréablement surprise de l'ensemble assez hétéroclite ... plusieurs styles de musique s'y côtoient plutôt harmonieusement .. il n'y a donc pas vraiment d'unité mais c'était prévisible (et annoncé dans plusieurs interviewes) pour ce type d'album qui n'est qu'une compilation de chansons qui ne prendront réellement vie que sur scène dans le cadre d'un spectacle cadré, préparé, rigide, construit ...

Des individualités se détachent, Thierry Amiel bien sûr en tête avec sa toujours aussi incroyable voix et qui endosse son premier rôle plutôt facilement (je dirais même avec une aisance déconcertante, lui qui était si timide et réservé ...) et Cylia qui a également une bien jolie limpidité dans son timbre qui se marie parfaitement à celle de son partenaire.

Une fois passé le premier titre un peu trop mielleux à mon goût bien que pas si désagréable toutefois, certains autres sont très réussis, Pascal Obispo est un sacrément bon mélodiste et il nous le prouve encore une fois, abordant avec intelligence et subtilité différents sujets importants.

Je suis fan de l'artiste depuis ses débuts (ses trois quatre premiers albums sont réellement excellents et ont longtemps tourné en boucle chez moi ...) et même si j'ai un peu de mal avec la personnalité du monsieur, je suis toujours assez séduite par ce qu'il nous propose.

Ici, les chansons qui me plaisent le plus sont Les passages, De l'autre côté, Game Over, Ce qu'on ne m'a jamais dit ... quant à Ma Bataille qui clôture l'album en version piano-voix, c'est juste sublime à tomber par terre ...

Thierry en plus est toujours aussi charmant (il vient de fêter ses 29 ans ... comme le temps passe ... on l'a connu tout minot ... !! c'est un homme maintenant !! ...) ...

N'hésitez pas à écouter ce bien joli album en prélude au spectacle dont la première aura lieu le 31 janvier 2012 au Palais des Sports à Paris ...

http://www.deezer.com/fr/music/adam-eve/adam-eve-la-seconde-chance-1280616

Un siècle que mon Isa (Isatagada ...) nous parle de ce groupe (belge) et de Nico Ly, le chanteur (français), qu'elle suit depuis leurs tout débuts.

Quand je dis "nous", je dis "son petit groupe d'amies qui connaissent ses goûts et ses talents d'auteur de chroniques foutrement bien écrites  (je suis jalouse ...)" ... elle est mon initiatrice à la bonne musique (Radiohead, Le Prince Miiaou, Dahlia, Karkwa, ...) et mon inspiratrice ... je suis fan d'elle ... 

(voir son blog : http://isatagada.blog.com/ et le site : http://www.discordance.fr/)

Le 8 juin 2011, je vous les présentais à l'occasion de la sortie de leur album, heureux mélange de rock et d'alternative. J'avais alors bien tilté sur leur style et sur la voix du jeune chanteur charismatique, charmant et bigrement doué.

Hier soir, ils se produisaient sur la scène du Cabaret Aléatoire et c'était pour moi l'occasion d'aller les découvrir en live et les applaudir ...

Isa m'avait prévenue mais quelle n'est pas ma surprise face à des titres réorchestrés de façon très très rock. Moi qui ne suis pas une fana du genre - disons que je m'y suis mise sur le tard et que j'ai encore du mal avec le pur et dur rock - il m'a fallu deux ou trois titres avant que d'être finalement réellement séduite par le groupe.

Car, au-delà du "j'aime" ou "j'aime pas", on ne peut pas nier qu'il y a là une sacrée bonne dose de talents. Les musiciens envoient du lourd, du très lourd, les mélodies de l'album apparaissent soudain édulcorées et épurées à côté des prestations intenses, rythmées et dynamisées par des interprétations démentielles ...

Nico Ly a une voix phénoménale mais j'ai regretté par fugaces instants qu'il la pousse à l'extrême comme s'il cherchait à couvrir la musique un peu trop forte, jusqu'à risquer de se casser les cordes vocales (c'était parfois limite mais, m'a-t-il dit ensuite, c'était volontaire pour proposer sur scène un live effrené et surtout pour se détacher radicalement de l'album et proposer quelque chose de différent...) mais il a une telle maîtrise, une telle technique et une telle énergie qu'il assure tout le long du concert, en lui donnant des modulations incroyables, des nuances saisissantes, des couleurs chaudes et puissantes, jusqu'à des finals plein de grâce et de délicatesse ... à vous donner des frissons, à vous faire vibrer ...

Après un premier titre inédit (et au moins un ou deux autres), le groupe nous offre quasiment l'intégralité de l'album (je ne saurais vous détailler car, bien que je l'écoute souvent, je ne le connais pas non plus suffisamment pour décortiquer chaque morceau) pour presque 1h30 de concert boosté à l'adrénaline.

Dommage toutefois qu'entre les chansons, il y a des ruptures d'ambiance à cause des lumières pas très bien gérées et d'un maigre public pas toujours très motivé (heureusement que les plus acharnés et/ou fans savent se manifester). Alors que pendant les chansons nous sommes plongés avec délice et sans arme au coeur de leur univers, entre deux les lumières se rallument à se croire dans une salle des fêtes d'un thé dansant d'un dimanche après-midi ... cela ne dure que dix ou vingt secondes, le temps qu'ils se relancent dans un nouveau trip mais cela suffit à nous sortir du concert qui en perd de la fluidité et de la continuité.

Avec le recul à l'heure où j'écris ces lignes, m'en reste cependant une excellente impression. J'ai aimé, beaucoup aimé. J'en suis ressortie grisée, enivrée et heureuse. Certes les regards et l'attention ont tendance à se focaliser sur le chanteur au style si particulier qui se détache du reste du groupe par une allure longiligne, tout habillé de noir, les yeux maquillés (il ferait presque gothique !!), il s'investit corps et âme, il sort ses tripes et tout son coeur sur la scène ... mais les quatre musiciens ont tous une vraie personnalité et un incroyable talent. Il y a eu même des envolées magistrales, vocales et/ou musicales, et des instants purs et magiques qui m'ont scotchée à ma barrière même tout en tentant de capter de bonnes photos.

Mais j'aimerais vraiment les revoir dans un autre contexte, dans une autre salle un peu moins froide et un peu plus remplie.

A savoir que Nico Ly travaille sur d'autres projets (déjà le deuxième album avec le groupe est en route) y compris un qui semble prometteur avec .............. Olivier Coursier ...

Je vais peut-être le revoir en première partie de AaRON ... allez savoir ...

Après le concert, j'ai pu parler quelques minutes avec David et Nico, je n'ai malheureusement pas eu le temps de voir les autres membres du groupe, on a été mis dehors (si si !!) et il était déjà minuit (le groupe est monté sur scène à 22h30 passées - la première partie a été assurée par Rubin Steiner et Ira Lee ......) ... mais j'ai pu faire une, deux, trois photos avec eux deux (bon elles sont totalement ratées, je ne remercie pas le piètre photographe !!!! mais ça fait tout de même un bon souvenir).

Leur facebook : http://www.facebook.com/WELOVEAPPLAUSE

Toutes mes photos : http://www.facebook.com/media/set/?set=a.10150385629879929.373604.780124928&type=1&l=96cb6eb8e3

Cet après-midi je suis allée voir IMANY en showcase au forum de la FNAC.

D'origine comorienne, l'ancienne mannequin s'est reconvertie avec succès à la chanson.

Toutefois, j'ai été un peu déçue. Sûrement stressée ou fatiguée, la chanteuse entame son showcase très tendue, son visage est figé et inexpressif, contrastant avec un corps qui ondule magnifiquement avec classe et délicatesse.

L'artiste est envoûtante, la voix est sublime, grave et marquée, posée et puissante, les chansons sont belles.

Mais j'ai eu du mal à accrocher à la personne. Pourtant, au fur et à mesure, elle s'est détendue et nous a offert de beaux sourires qui ont alors illuminé son visage (elle est vraiment très belle mais limite hautaine), et nous a adressé quelques mots entre deux titres.

Elle est vite partie sur un bref "au revoir".

La déception a été d'autant plus grande qu'on a été frustrés de la séance de dédicaces qui a purement et simplement été supprimée au profit d'une chanson supplémentaire. Je trouve dommage que le temps prévu pour ce faire n'ait pas été accordé aux quelques personnes encore présentes (une dizaine maximum) et qui espéraient (dont je faisais partie), les organisatrices nous ont clairement fait comprendre qu'il fallait libérer les lieux.

L'organisation n'était pas au rendez-vous cette fois-ci, c'est dommage.

Je trouve que le capital sympathie d'un artiste est tout aussi important que son talent. Et là, je ne l'ai pas ressentie, je l'ai trouvée lointaine et froide, peu complice.

Dommage car artistiquement elle est extraordinaire.

(ps : contente d'avoir vu Christophe ...)

Wouaouh wouaouh wouaouh et triple wouaouh ...

Simon Buret et Olivier Coursier, qui ont étoffé le groupe de trois musiciens, ont proposé hier soir à l'Espace Julien, un concert absolument exceptionnel et fabuleux, le deuxième de leur nouvelle tournée Unplugged and Waves.

Les vagues je les ai eues par ... vagues ... des instants où Simon m'a fait vibrer et frissonner par sa voix à tomber par terre, parfois puissante, parfois murmurante, jusqu'à des plaintes vocales concluant les chansons absolument renversantes qui vous poignardent le ventre, son timbre si singulier se marie parfaitement aux mélodies, aux textes aux consonances et aux résonances intenses, aux orchestrations ou réorchestrations éblouissantes ...

Le "unplugged" a été ressenti dans des versions revisitées de certains titres (et entre autres, un U-turn absolument fabuleux qui aurait mérité d'être épuré des voix du public qui avait envie de chanter après un Little love entraînant où le "Don't worry life is easy" a été repris par les fans d'une bien jolie manière jusqu'à un final conclu par Simon).

Les lumières exhaussent l'ambiance survoltée du concert, le son est optimum, les titres s'enchaînent sur un rythme endiablé, les musiciens envoient du lourd, du très lourd ...

Simon embarque son public par des gestes des mains qui en disent long incitant les gens à applaudir, à participer, à vivre les chansons avec lui (avec eux ...).

C'est un vrai show-man qui danse, qui ondule, qui parle, qui partage, généreux, talentueux ... un génie ... un génie de la scène ... qui se met parfois au piano tandis que Olivier passe avec une aisance folle du clavier à la guitare ... (magnifique duo pour Mister K où ils se rejoignent au centre de la scène).

La set list (j'en ai piqué un exemplaire ...) est composée des titres suivants, dans l'ordre :

Inner Streets - Rise - Angel Dust - Blow - Seeds of gold - War flag - Birds in the storm - Lost Highway - Thousand wars - Mister K - The lame souls - Arm your eyes - Tomorrow morning - (premier rappel) - Little love - Ludlow - U Turn - Passengers - (deuxième rappel) - Endless song

Un concert vraiment puissant et émouvant après lequel on a attendu une bonne heure pour avoir la chance de rencontrer Simon et Olivier.

Mais j'ai eu mon bisou, mon sourire, ma photo, ma dédicace ... avant de courir prendre le dernier bus !!

C'était vraiment extraordinaire ...

Pour avoir participé à la campagne ULELE de Raphaëlle Dess, site proposant aux internautes d'aider à la promotion, j'ai eu l'opportunité d'écouter son premier album en avant-première.

Je l'ai écouté, et plus d'une fois ... je dirais même en boucle depuis trois jours pour mieux m'en imprégner et m'en faire la plus juste idée.

Je suis cette demoiselle depuis sa participation à la Nouvelle Star en 2007 où son parcours s'est malheureusement arrêté à mi-chemin, séduite tout d'abord par sa fabuleuse voix puis par la qualité de son écriture, de ses compositions et par son intelligence. Facebook a permis qui plus est d'échanger et j'ai pu ainsi mieux cerner sa personnalité attachante.

Et j'attendais impatiemment son album.

L'univers de Raphaëlle est un heureux mélange de folk et de country, un genre peu commun en France. Elle imprime dans ses textes et ses compositions une vraie originalité, beaucoup de sincérité, de lucidité et surtout un talent fou.

Dommage cependant que le premier titre, léger et aérien, ne soit pas des plus accrocheurs (Dobeedoobee), ce n'est pas mon préféré loin de là, mais on sent déjà que Raphaëlle en impose par sa technicité vocale et par son style délibérément atypique.

L'album propose ensuite une alternance réussie et équilibrée entre les chansons en français et les chansons en anglais et comporte de bien belles ballades (Pour une nuit) et autres titres plus enlevés (Better this way).

Bizarrement, alors que je suis vraiment contente de trouver enfin une voix féminine française qui change et qui m'enchante (j'écoute de moins en moins de variété française et encore moins de femmes - il y en a peu sur mon MP3 en fait, où s'y côtoient Annie Lennox, Julia Stone, Ayo, Barbra Streisand, Beth Gibbons, Jane Monheit, Diana Krall, Joss Stone, etc., et maintenant donc Raphaëlle Dess ...), je suis davantage séduite par les chansons en anglais où j'y retrouve un peu les accentuations de Shania Twain. La voix de Raphaëlle est sûre, pure, limpide, profonde, dispose d'une belle tessiture, de jolis décrochés ... j'aime cette voix puissante et envoûtante au service de titres très bien écrits et composés.

Ceux qui se détachent pour moi sont Already seven, If you, I'm ready dans les anglo-saxons, Peindre mes souvenirs et Les maux de mes songes dans les français mais j'aime aussi les autres, portés par la magnifique voix de la jeune chanteuse.

Ensuite l'art et son appréciation sont des notions subjectives.

Mais il faut avouer en toute objectivité que cette demoiselle belle, intelligente et douce a un indéniable talent, une incroyable voix suave et surtout très sensuelle, et des chansons très réussies. Je suis sensible au charme et aux couleurs joliment nuancées qui se dégagent de son album lumineux.

J'ai très envie de la voir prochainement enfin sur scène car je suis certaine qu'en concert elle doit être très complice avec son public, bavarde, généreuse et chaleureuse.

J'aime vraiment beaucoup beaucoup et la jeune femme et son album même si j'ai déjà des préférences sur certains titres, mais il s'écoute facilement, attentivement et agréablement, et fait déjà partie de ma CDthèque ...

Jérémy Ferrari et Arnaud Tsamère rejoindront Laurent Ruquier dans “On n’est pas couché” sur France 2 à la rentrée. Les deux humoristes l’ont déclaré sur Facebook: "(nous) sommes heureux de vous annoncer officiellement que vous pourrez nous retrouver à la rentrée en duo toutes les semaines dans “On n’est pas couché” !“. Et histoire de rire un peu, chacun a ajouté : "Je n’aime pas Jérémy/Arnaud, mais je pense que c’est quand même une bonne nouvelle".

Les deux hommes sont déjà des habitués de France 2 et de la bande à Ruquier. Après plusieurs passages dans l’émission “On n’demande qu’à en rire”, ils sont également intervenus séparément dans “On a tout révisé”. Depuis janvier 2011, Jérémy Ferrari participe comme chroniqueur à l’émission “On va s’gêner” sur Europe 1.

Ils succèdent à Jonathan Lambert, parti de l’émission pour se consacrer au théâtre et au cinéma.

Après avoir individuellement triomphé au Festival d'Avignon qui se clôture aujourd'hui dans leur spectacle respectif (Allelujah bordel pour Jérémy Ferrari et Chose promise pour Arnaud Tsamère), les deux compères ne se quittent plus : outre les skectchs en duo qu'ils présentent dans On ne demande qu'à en rire, émission dans laquelle ils sont déjà promus "pensionnaires" et qu'on retrouvera à la rentrée (pendant l'été, uniquement le samedi soir de 18 h 45 à 19 h 45), ils se produiront donc ensemble aux côtés de Ruquier et c'est une sacrément bonne nouvelle pour ces deux humoristes qui montent, qui montent.

Je leur prédis à tous deux une belle carrière ... même si j'ai une nette préférence pour le jeune Jérémy qui me fait fondre ..

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Mise à jour du 28/10/2011 : le duo n'aura finalement duré le temps que de deux émissions ... Jérémy et Arnaud ont décidé d'un commun et amiable accord  avec Laurent Ruquier qu'ils n'avaient pas leur place au sein de l'émission et tous deux ayant des projets personnels à développer ont préféré choisir une autre voie ...